Les Naissances

Cristòli, fils de Dolce et Shyriu


Sil et Azraël erraient sans cesse dans les bourgades environnantes passant de petits boulots à travaux des champs. A son habitude Sil ronchonnait sans cesse à l’idée de faire le travail qui incomber aux paysans, il se disait bien au dessus de ces valeurs. Azraël n’avait qu’à lui parler d’argent pour que Sil comprenne la nécessité de ce genre de tâches. Aujourd’hui, ils n’avaient trouvé rien d’autre que d’être affrété à la livraison de tonneaux de bière pour la ville du Puy…

-Tu crois qu’ils ont besoin de toute cette bière au Puy ? J’ai soif, j’en ai marre de ces boulots sans réel but. On pourrait pas faire comme avant ? dis Sil


-Tais toi et fais avancer la charrue, si ça continue on va être en retard.

Azraël restait implacide à toutes les remarques de son camarade, ses idées étaient bien au-delà de cela mais Sil était un formidable compagnon quoique les gens pensaient de lui aux premiers abords. Après avoir traversaient un petit ruisseau, ils passèrent devant un petit hameau bien vide à cette heure de la journée…et un peu plus loin, le brouillard tardif essayait bien sans mal à cacher la ville du Puy. Tout à coup un grand choc fit basculé les deux hommes en arrière et Sil chuta et se retrouva à terre, Azraël se récupéra au dernier moment. Leur roue venait de rompre.

-Et voilà on a gagné, je savais qu’il ne fallait pas faire ce travail… je sentais que ça allait mal tourner.
- Surveille la marchandise je vais essayer d’aller en ville trouver un charpentier.
- Quoi moi ? …


Azraël avait déjà prit sa sacoche et se rendait au Puy . Sur son chemin il aperçut une femme en train de retourner la terre rugueuse de son champ.


-Pardon mademoiselle… aperçut son ventre bien rond. Je cherche un charpentier, j’ai cassé ma roue, pouvez vous me renseigner ?




Bien le bonjour à vous, Messire
Mais vous avez remarqué mon ventre, il convient donc de me dire "Madame" et non "Mademoiselle", labeur aux champs rendait de mauvaise humeur à l'approche du terme de sa grossesse.

Une roue cassée, c'est pas de chance, on est assez loin du village, continua Dolce

Je vous aurais bien renseigné mon amie Kik qui est charpentier - c'est d'ailleurs elle qui a réalisé certains de mes cadeaux de mariage -, mais elle a quitté le Puy il y a quelques lunes maintenant...

Dolce se relève, met ses mains sur ses reins tout douloureux aujourd'hui et semble perdue dans ses pensées.
L'homme commence à s'impatienter
Après un moment, Dolce lui dit: Désolée, mais je ne connais pas d'autres charpentiers au Puy.
Ah ça pour sûr, il y en a d'autres, mais j'ai pas de nom à vous donner !

En finissant ces propos, Dolce est prise d'une grande douleur dans le bas du ventre, laisse un cri perçant et se plie en deux.

Le voyageur, très surpris, ne sait pas quoi faire.

Oh par Aristote, je vais accoucher, dit Dolce toute paniquée

Elle est maintenant quasi couchée dans la terre retournée de son champ. De grosses gouttes perlent sur son front malgré les températures très basses que connaît le Languedoc en ce jour de Ste Odilon.

Ne restez pas bêtement comme ça, lance Dolce à l'inconnu.
Vous voyez bien que je perds les eaux

La douleur reprend de plus belle, Dolce est au bord de l'évanouissement...

Emmenez-moi au cabinet du médecin Kamharley et de sa sage-femme Bouzimir, s'il vous plaît, parvient à dire Dolce avant de s'évanouir pour de bon...




Azraël était devenu très pâle, il ne s'attendait vraiment pas à ça..La femme s'était évanouit à ses pieds.

qu'est ce que elle vient de dire? ah oui Kam quelque chose je crois.

Il prit la jeune femme dans ses bras et essaya de rejoindre la route au plus vite, il entendait des claquements de sabots sur les pavées, le brouillard venait de tomber, il essayait de discerner d'ou venait ce bruit...

Au secours, j'ai une femme qui va accoucher...Eh OH!!!!
Je dois l'ammener chez Kam... et Bouzimir.

le second nom lui était revenu,
il répèta sans cesse.

EH OH..


Plus loin Sil commençait à perdre patience, il s'asseya sur un roc et prit une couverture pour ne pas attraper froid.




Ben en sortanr de l'animalerie , entendit des cris

Une femme qui accouche, Kam Bouzimir, puis il se rappela que Dolce, devait accouche d'un moment a l'autre

Il se dirigea vers les cris et remarqua deux personnes qui entouraient Dolce,

He bien je vois que le moment est arrive pour Dolce, suivez moi je vous emmene chez Kam et Bouzi, ne vous inquiete pas,

Voyant que l'homme etait assez fatigue, Ben pris la releve et emporta Dolce dans ses bras vers le boutiquye de Kam.
Après quelques centaines de metres, ben s'arreta un peu ppur souffler, Dolce etait en temps normal assez fine, mais la au bord de l'accouchement, elle faisait quand meme plus que prevu, il s'assit pour souffler un peu en esperant voir arriver des renforts

ca va allez Dolce respire, bon dieu elle est completement evanouie, et un de vous peu allez jusque chez Kam et Bouzi, c'st tout droit puis a droite et enfin la deuxieme a gauche, il y a une enseigne vous verrez




bouzi arriva en courant, elle avait eté mise au courant de fait que Dolce etait prete à accoucher....elle arriva donc avec sa brouette au cas ou
Elle croisa bentich qui transporté la pauvre dame vers le cabinet

Eh!! malheureux ne la secoue pas ainssi, depose la sur la brouette, y a des couvertures au fond pour son dos




Sur les chemins chaotiques qui menaient au Puy, Dolce reprit un peu connaissance. Elle ouvrit les yeux et se demanda où elle était et qui était l'homme qui marchait à côté de la brouette où elle était couchée.

Une brouette ??? Mais qu'est-ce que je fais dans une brouette ? se dit-elle.

Puis tout lui revint en mémoire: la terre dure de son champ, l'inconnu, les contractions et enfin l'évanouissement.

La brouette continuait d'avancer. Dolce pencha la tête en arrière et vit Bouzi et Ben qui poussait. Elle se sentit un peu rassurée de savoir qu'on s'occupait d'elle et qu'elle n'accoucherait pas au milieu de son blé.

Les contractions reprirent de plus belle, elle sentit ses forces l'abandonner.
Avant de sombrer de nouveau, elle s'adressa à Bouzi: Shyriu... Il faut prévenir Shyriu... Caserne... La caserne...

Et Dolce s'évanouit de nouveau...




Bouzi qui observait toujours dolce vit qu elle reprenait connaissance...et parlait de son homme...

ne t inquiete pas va, on va t emmener au cabinet et de la on previendra Shyriu... Mais pour le moment tu as qu une chose a faire penser a toi et au bebe....




Dolce, arrivée au cabinet dans sa brouette avec Bouzi, Bentich et l'inconnu, reprit connaissance.

Ils l'installèrent sur la table de travail pour qu'elle puisse accoucher.

Les contractions se rapprochaient de plus en plus, la douleur augmentait... De grosses gouttes de sueur perlaient sur son front.


J'ai trop mal ... Je n'y arriverai jamais... Où est Shyriu?
Où est Shyriu? Je veux que Shyriu vienne tout de suite...

Les larmes roulaient sur les joues de Dolce




Azraël était bien content que quelqu'un soit venu l'aider, il regardait songeur la jeune femme tout le long du trajet, il en oublia son camarade qui devait l'attendre près du chariot..Quand Dolcepazzia se réveilla elle murmura quelques mots et compris que l'homme qu'elle demandait était sans doute le père, il demanda confirmation auprès des villageois présents. Ne connaissant pas trop la ville, il demanda sa route pour rejoindre la caserne à toute vitesse et essaya tant bien que mal à approcher Shyriu pour lui annoncer la nouvelle.

-Messire Excusez moi, je crois que l'on vous demande en ville chez bouzimir, votre compagne, enfin je crois et sur le point d'accoucher..

-Sacrebleu!!!

shyriu bondit quand il apprit la nouvelle et se rua à l'extérieur, enfourcha son canasson sans prendre le temps de remercier son informateur.






Ce jour là, Kam était tranquilement à son "labo" où il préparait quelques potions pour la bronchite. Avec l'hiver, la demande était assez importante et il appréciait d'en avoir quelques unes d'avance.

Il achevait de remplir une fiole quand soudain un ponot entra à grand fracas dans la boutique en appelant le médecin. Kam arriva donc un filoe à la main dans la boutique et y trouva un villageois essouflé, probablement avait il couru jusqu'ici. Kam alla poser son bazard, laissant à l'homme le temps de reprendre son souffle puis le fit assoir et écouta ce qu'il avait de si important à lui dire.

-On a besoin de vous doc! Y'a une certaine Dolce qui va accoucher d'un instant à l'autre et on m'a demandé de vous appeler à la rescousse!!

-Dolce? La belle de Shyriu?? humm ok, où est elle?

-Elle a été trouvé aux champs par des gens de passage, apparement on l'amène chez vous, votre infirmière Bouzi a été prévenue et est partie voir là bas!

-Ok c'est compris, je vais vite préparer la salle pour que Bouzi puisse commencer direct quand Dolce sera ici. Vous avez prévenu son mari? Je crois qu'il est rentré de Montpellier. Je l'ai croisé ici il y a quelques jours.

-Oui Doc, ils ont envoyé quelqun le chercher

Kam alla vite préparer la salle, ils seraient vite ici. Il installa une table matelassée dans une pièce chaude et bien éclairée, pas trop étroite pour que Dolce n'étouffe pas,

Il eu ensuite le temps de préparer une thisane à base de tilleul, feuille de framboisier, pomme épineuse et écorce de saule. C'était excellent pour la douleur et la relaxation. Ca devrait faciliter le travail de Dolce. Il fallait qu'elle fasse abstraction au maximum de la douleur et ne lutte pas contre les contractions. La thisane lui permettra de mieux se concentrer sur les contraction et les aider.

Il prépara aussi quelques linges propres et sec, venant des champs elle était peut être trempée. Elle était affaiblie par cette grossesse et il valait mieux prendre le moins de risques.

Il finissait la thisane quand l'étrange cortège arriva. Dolca suait beaucoup et semblait vraiment éprouvée. Il la déposèrent délicatement sur la table aménagée exprès et se préparèrent. Kam avait hâte que le capitaine arrive, Dolce avait besoin de son soutien. Elle semblait à moitié inconsciente. Kam alla lui parler pour essayer de la rassurer et de stimuler sa conscience. Même si elle ne repondait pas, les paroles atteindrai son esprit et l'aiderait probablement.

Ecoute moi Dolce si tu m'entend, Bouzi et moi savons y faire, tu es en sécurité ici et tout va bien se passer. Nous allons t'aider à faire venir ton bébé au monde, mais on a besoin de toi, reste avec nous Dolce, Shyriu arrive, tout ira bien. Je vais te faire boire une thisane qui te fera sentir mieux.

Ils lui firent alors boirent doucement le liquide en esperant que les effets se verraient bientôt.





shyriu avait galopé à tout vitesse donnant une cadence au cheval assez intense, il avait traversé les rues pavées et s'inscrustant par les petites ruelles escarpées étant obligés de rabattre sa tête pour ne point se prendre les enseignes en pleine figure. Arrivé devant le cabinet, il aperçut de la lumière qui venait de l'étage, il donna son cheval à un jeune garçon et lui jetta une pièce.

Prend s'en soin, il n'est pas à moi...


Shyriu frappa à la porte et pénétra, se retrouvant sur le seuil de la porte, il prit quelques secondes pour reprendre son souffle, il posa sa longue veste sur une chaise comme si son esprit s'était remis en place..Il monta les escaliers prenant conscience de se qui se déroulé et entra dans la chambre.
Autour de son épouse quelques personnes se trouvaient là, elle était anxieuse, transpiré..il s'approcha s'en dire mot et lui caressa le visage.

il lui murmura:

je suis là..





Shyriu, oh Shyriu, enfin tu es là, murmura doucement Dolce.

Elle ouvrait la bouche pour dire quelque chose lorsqu'elle eut une violente contraction. Elle souffla et souffla encore tout en poussant pour faire sortir le petit être qui était dans son ventre.

Sur les encouragements de tous les témoins de cet événement magique, Dolce continua à souffler et à pousser jusqu'à ce qu'on voie la tête du bébé.

Dolce reprit un peu ses esprits et se remit à pousser jusqu'à ce qu'elle entende Kam dire que c'était un magnifique petit garçon (ce que Dolce savait déjà car la lune ne se trompe jamais !).

Le petit bonhomme poussa un cri bien sonore, signe de sa bonne santé

Bouzi passa un linge à Shyriu pour qu'il puisse éponger le front de son épouse tandis que Kam coupait le cordon ombilical et se dirigeait dans une autre pièce pour procéder au bain du bébé.

Rapidement il revint et déposa le petit être dans les bras de Dolce qui s'était redressée sur la table. Elle l'appuya délicatement sur sa poitrine et sourit à Shyriu.

Le voilà enfin ton fils... NOTRE fils...

Shyriu sourit à Dolce et baisa tendrement son front. Puis il caressa tout doucement - et un peu maladroitement - le visage de sa progéniture.

Bienvenue à toi, Cristòli, en ce jour de Ste Odilon, dit Dolce, le regard plein d'amour dirigé vers son fils...





shyriu avait assisté à la scène, tel un enfant qui découvre la vie, le commencement..éberlué par l'acte qui venait de se produire. Il prit l'enfant dans ses bras, de cet instant magique, il en oublié presque le travail qui l'attendait, les yeux de l'enfant était fermé et il en oublié pas de pleurer fort, très fort...shyriu se demandait d'ou il tirait cette énergie, il préfèra le comtempler comme on regarde un trésor!





L'accouchement s'était passé à merveille. Les potions avaient fait effet et Dolce avait vraiment bien travaillé. L'infirmière et le Doc avaient pû l'aider et accueillir le bébé dan sles meilleures conditons. Un magnifique petit garçon...
Kam avait fait coupé le cordon par la père, à 4 doigts de distance du nombril du petit, en référence aux 4 saisons... Et Bouzi l'avait nettoyé et confié à se mère.

Le Doc avait rapidement félicité les parents et s'était mis en retrait pour laisser la famille et les amis profiter de ce grand moment de bonheur.

Kam souriait en pensant aux autres accouchements qui étaient prévu dans peu de temps au Puy...

Naissance de Gabriel le 25 Novembre 1455 - Fils de Bentich et Aurely

Bentich a ecrit

Citation :

Toujours avec Ana dans ses bras, entendant sa respiration tres sifflante ben arriva tres essoufle au cabinet médical, il avait courru, la vie de sa fille en dependait.

Il entra, pas un bruit a part celui qui venait de la salle d'operation, Ben deposa Ana sur un lit et la recouvrit avec des couverture, il esperait voir Jeina, Skip, ou n'importe qui.

Il avisa un gamin qui passait devant le cabinet medical et l'envoya chercher Jeina, ou Lyia, ou n'importe qui mais il fallait quelqu'un

Il rentra a nouveau et s'assit pres de sa fille, les larmes commencerent à couler le long de ses joues.

Aristote mon dieu, un etre devrait arrive dans les heures ou les jours qui suivent et tu veux m'en enlever un autre, je t'en conjure fait qu'une personne s'y connaissant en médecine arrivent

Ben cria un bon coup dans la piece, la rage faisait maintenant place au chagrin, d'abord jamy et puis ,........ non il sauverait Ana lui meme si il le fallait

Anastasia a écrit

Citation :

On l'avais pris dans les bras,serrer et tenter de réchauffer son corps frigorifié,et tremper par la pluie.Ses yeux restait fermer,mais elle bougeait,se debattait,envellopée dans ses couverture comme si elle se défendais de quelque chose.Elle savait même pas ou elle se trouvait,aucune voix resonnait a ses oreilles.Elle avait maigrit en quelque jours,perdu toute son énergie,le mal avait emprise sur la gamine de trois ans,le froid n'ayant pas aider a ralentir ce qu'elle portait en elle et si c'était contagieux ? Elle toussa,s'étouffant étant couché sur le dos,tentant de respirer comme elle pouvait,la petite sentait ses pauvres et maigres énergie qui lui restait defilée,essayant de prendre une bouffée d'air sans succès,on lui bloquais l'accès à l'air !!! Les poumons levait sa poitrine,mais c'était bruyant,sifflant,et presque rien passait,elle s'énervait,la fièvre la prenait se qui provoqua une petit folie chez la petite a demi-consiente,puis elle arreta,respirant encore plus bruyament,bougeant qu'un peu la tête de gauche a droite,ses mains tremblait,elle respirait presque plus...

Pô... ... .........................

Aurely a écrit

Citation :

Aurely courrait aussi vite qu'elle le pouvait. Sa petite puce avait encore fugué. Elle criait son nom dans tout le village, les larmes se mêlant aux gouttes de pluie qui tombaient en abondance sur le Puy.
Elle avait beau chercher, elle ne trouvait pas Ana. Elle avait été près du fleuve, près de l'école, au cimetière mais rien ... Rien nulle part...
La panique envahissait son coeur. Elle était déja malade, et elle était sortie sous une pluie battante, sans rien....Et si on l'avait enlevé ? Comme elle s'en voulait de ne pas avoir été plus vigilante ... Aurely pleura de plus belle et continua de chercher. Elle s'arrêtait deux secondes pour reprendre son souffle, quand elle ressentit une douleur au ventre, si violente qu'elle la fit se plier en deux et pousser un cri de douleur, déchirant la nuit ... Le bébé ... Le bébé allait arriver maintenant ... Mais elle n'avait pas retrouvé Ana ... Elle regardait autour d'elle mais il n'y avait personne qui pouvait l'aider. Elle ne pouvait pas rester bêtement ici. Il fallait aller au cabinet et vite. Elle se releva et se dirigea vers le cabinet en tenant son ventre et en essayant de rester debout malgré les contractions virulentes qui la faisait quasiment tomber.
Elle arriva finalement au cabinet, ruisselante, essouflée...Elle essayait de ne pas paniquer et s'appuyait sur les murs pour tenir debout.
Elle frappa fortement sur la porte du cabinet et y entra. Nuit était toujours dans le coma, Jeina et Kam n'étaient pas là, et Ana était quelque part, seule en pleine nuit. Elle se demandait sincèrement comment tout cela allait se passer et pria le ciel d'accomplir un miracle pour que tu se passes bien. Elle avança dans le cabinet :
S'il vous plait, il y a quelqu'un ? Pitié je suis sur le point d'accoucher ... Aaaaaaaaaaaaaaahhh !!
Uen nouvelle contraction l'avait fait laché un hurlement de douleur incontrôlé. Elle était pliée en deux de douleur, des larmes ruisselant sur son visage. Elle pratiqua alors l'hyperventilation comme pour Aurore, inspirant et expirant profondement. Elle n'arrivait pas à se relever, la douleur était trop forte. Dans son coeur elle priait pour qu'on vienne l'aider ...

Bentich a écrit

Citation :

Toujours au chevet de sa fille, qui toussait, Ben lui essuyait le front sur lequel perlait des gouttes de sueurs, le petite etait brulante. Tout a coup il entendit la voix d'Aurely, mais plus que des paroles se fut le cri qu'elle poussa qui le sortit de sa torpeur.

Il ragarda sa petite fille cherie, lui sourit et se leva pour se rendre dans la salle de l'entree, et la il vit sa douce cherie etendu par terre se tenant le ventre. Elle etait en hyperventilation.

Ha mais non, mon coeur attends je vais t'aider a te relever, et a t'allonger,

Ben la prit dans ses bras comme il pu, et l'amena dans la chambre, il la deposa sur le lit dans la piece en face de celle d'Ana , il avait peur que la maladie d'Ana soit contagieuse.

Il etendit sa douce et sortit carrement dehors et la il hurla a nouveau

Mais c'est quoi ca, tu veux vraiment me mettre au defi toi la haut, mais pour une fois use de ton influence mystique pour faire venir un homme ou une femme de science et vite meme

Il rentra et se mit dans le couloir entre les deux portes, Ana avait besoin de lui et Aurely aussi Il regarda vers la petite qui dormait, toussotante.
Il entra finalement pres de son amour pour la soutenir

Aurely a écrit

Citation :

Aurely vit Ben sortir d'une chambre et la prendre dans ses bras comme il pouvait. Aurely lui murmura :
Ana .... Il faut trouver Ana ... Elle est partie ...
Ben l'allongea sur le lit puis elle le vit sortir. Elle entendit alors un hurlement venant du dehors. Elle ne comprennait pas bien ce que Ben disait mais elle sentait qu'il était en colère et peut-être paniqué.
Une nouvelle contraction la fit lacher un hurlement au moment ou Ben entra dans la chambre. Il s'approcha d'elle pour la soutenir. Elle lui fit un petit sourire et lui prit la main.
Chéri, il faut absolument faire quelque chose. Les contractions sont de plus en plus rapprochés. Trouve quelqu'un, je sais pas .. Aaaaaaaaaaaaaaaa!
Elle lui serra la main avec une puissance inhabituelle, comme si lui serrer la main pouvait calmer sa douleur. Les contractions étaient de plus en plus forte. La douleur était si forte qu'elle crut s'évanouir, mais elle était bien consciente, l'évanouissement aurait été une issue trop facile... Elle essayait de continuer à prendre de profondes inspirations mais elle n'y arrivait pas. La douleur était trop puissante.
Personne ne venait ... Elle recommenca à pleurer de douleur, et de peur surtout... Parce qu'elle avait peur. Peur que l'accouchement ne se passe pas bien, peur pour Ana, peur que personne ne vienne ... Elle était paniquée et avait encore plus de mal à se calmer. Elle regardait Ben, les yeux pleins de larmes. Au moins il était là, il la soutenait et lui
était d'un grand réconfort
Dis moi que ca va bien se passer, chéri ....

Skip a écrit

Citation :

Entendant le cris de Ben, Skip laissa Nuit quelque instant, son état étant stable et attendant de toute façon que le vilbrequin qu'il avait mis au feu soit prêt. Plus que jamais aujourd'hui il se sentait débordé. Tant de gens malade ou requérant des soins d'urgence. Décidemment, ce n'est vraiment pas ça journée. Il aurait mieux fait de rester coucher... Il vit la fille de Ben étandu sur un lit et vit Aurely entré, sur le point d'accoucher. Où sont les prioritées? Il a besoin d'aide sur le champs, mais faire demander qui? Ben criait que Aristot le mettait au défi, Skip crois plutôt que c'est lui qui est a l'épreuve. Il se tourna vers Ben.

-Ben! Je vais avoir besoin de toi. Va à la rivière et rapporte moi de l'eau. Rapporte moi aussi des algues. Celles que je veux sont vertes et très foncées, elles ressembles à des plumes. Fait vite. Je vais donner un sédatif à ta fille.

Il s'approcha alors de Aurely.

-Décidemment, vous vous êtes tous donné le mot aujourd'hui... Allez Aurely, faudra être patiente un peu. Je sais ce ne sera pas facile.

Skip lui donna une petite fiole.

-Tu respire doucement ça! Trois grande inspiration et puis après tu te calmera un peu.

Skip retourna dans la salle d'opération. L'eau chauffait dur et et le vilbrequin mijotait à gros bouillons. Il fouilla pour trouver des linges propres et retourna auprès d'Aurely après avoir rapidement passé les linges dans l'eau chaude.

-Si Mestia pouvait être là. Quelqu'un, il me fait un médoc rapidement, j'y arriverai pas seul.

Aurely était froide. Il posa les linges sur les pieds et le ventre de la femme, ça calmera temporairement ses douleurs.

-Si au moins j'avais eu le temps de me préparer.

Il sortie dehors et chercha Lady du regard. Il la vit qui s'éloignait.

-HEY! LADY!!! J'AURAIS BESOIN DE L'AIDE D'UNE FEMME! ET VITE!!!

Grandpas a écrit

Citation :

Sous les investives de messire Skip, Grandpas allait sortir comme tout le monde. Il ne pouvait s'empêcher de se demander ce que faisait Jeïna. Elle seule était en mesure d'aider Nuit. Il s'approchait de la porte quand il vit Jakobe, à l'écart.

Il vint vers l'enfant et s'accroupit devant lui. Il lui sourit, passa sa grande main dans sa chevelure. Puis il le prit contre lui et le câlina. Jakobe était visiblement en colère. Il est vrai qu'on l'avait repoussé sans vraiment de ménagement du chevet de Nuit.

Mais Grandpas ne menait pas les opérations, sinon, il l'aurait laissé près de Nuit. Sa présence auprès de la jeune femme ne pouvait pas nuire, bien au contraire. Il le repoussa légèrement et le regarda dans les yeux avant de lui parler doucement comme il le faisait habituellement.

Jakobe, on va aller se promener tous les deux. Et quand on reviendra, Nuit sera réveillée.

Bien entendu, il savait pertinemment que le bambin ne comprenait pas un mot de ce qu'il avait dit. Mais cela avait déjà fonctionné. Il se releva alors et le prit dans ses bras. Il allait pour sortir quand Bentich entra dans le cabinet avec sa fille dans les bras.

Le maire semblait paniqué et la petite avait visiblement des soucis de santé. Il regarda autour de lui. Personne ne semblait en mesure d'aider l'homme et sa fille. Grandpas chercha Lenaelle et quand ses yeux se posèrent sur elle, il lui fit un signe pour qu'elle le rejoigne.

Lena, s'il te plait, occupe-toi de Jakobe. Emmène-le chez toi pour jouer avec Seathiel. Je viendrai le reprendre quand on n'aura plus besoin de moi ici.

Bien entendu, Lenaelle accepta avec un grand sourire et récupéra Jakobe. Grandpas allait se rendre au chevet de la petite Anastasia quand ce fut au tour d'Aurély d'entrer dans le cabinet.
Décidément, les heures à venir allaient être longues.

La jeune femme rejoignit son compagnon où messire Skip s'occupait déjà de la petite puce. Il demanda à Bentich d'aller lui chercher des algues. Aussitôt, l'Écossais se proposa d'y aller à la place du père et compagnon dont la place était ici.

Je vais y aller messire Skip. Je crois que la place de Bentich est auprès des siens.

Aurely a écrit

Citation :

Skip entra dans la chambre, parla à Ben puis s'approcha d'elle. Il lui dit qu'elle devrait être patiente. Si elle ne souffrait pas autant, sans doute elle aurait rit... Si elle avait pu attendre elle l'aurait certainement fait.
Skip lui donna une petite fiole dont elle devait inhaler 3 fois les vapeurs, et lui dit que ca la calmerait. Aurely s'executa et inspira trois fois de suite les vapeurs de la petite fiole. Et effectivement elle se calma. Il posa des linges chauds sur son ventre et sur ses pieds pour la réchauffer et pour calmer les douleurs pendant un certain temps.
Bien qu'elle admirait le travail intense que Skip fournissait, elle priait pour que quelqu'un vienne aider le pauvre médecin débordé. Elle continuait de tenir la main de Ben, prête à serrer si la douleur se faisait trop violente.
On dit que le temps n'attends pas .. Les contractions d'une femme enceinte non plus, apparement. Aurely eu une autre contraction encore plus violente que les autres. Elle se tordit de douleur et serra la main de Ben avec toute sa force. Malgré toute sa volonté d'être patiente, le travail avait commencé et ne semblait pouvoir s'arrêter qu'une fois le travail terminé ...

Jeïna a écrit

Citation :

En caserne à s'entrainer, voilà où un jeune garçon avait trouvé Jeïna. Il avait mis du temps à la trouver, allez savoir pourquoi, on lui avait dit de regarder d'abord en tavernes
Et elle avait accouru. Apparement, Nuit était dans un sale état, une des filles de Ben était malade, et seul Skip s'en chargeait. Il devait être débordé.

Bon sang, se maudissait-elle en pensée, trop longtemps que je suis pas venue... J'espère que mon absence n'a pas causé trop de préjudices...

Ele ouvrit la porte et entra. Elle entendit un hurlement dans la pièce voisine. D'autres malades depuis qu'elle avait reçu le messager ?
Elle se dirigea vers le cri, espérant trouver Skip, et vit Aurely qui semblait souffrir atrocement, Ben et le médecin à son chevet.

Oh ! Aurely !!! Qu'est-ce que... Elle accouche ?

Elle se rendit compte qu'elle arrivait tard, qu'elle aurait dû être là depuis longtemps, beaucoup plus tôt... Elle se mordit la lèvre, espérant ne pas arriver trop tard. Elle voulait se rendre utile....
Elle se triturait les doigts. Elle n'était qu'infirmière, et redoutait de montrer son inexpérience dans les situations comme celles-ci, où le nombre de malades surpassaient celui des médecins...

Anastasia a écrit

Citation :

Mô...ma..

Elle c'était tourner sur le ventre avec le peu d'énergie qu'elle avait reussit a canaliser.Un malaise général lui pris,les yeux enfin ouvert,elle vomissa sur le côté sans savoir comment elle avait su trouver la force pour ne pas se vomir dessus.Retomber bruyante,la tête tombante sur l'oreiller du lit.Les lèvres semi-bleu sans parler de ses bouts de doigts,signe visuel décrivant facilement son manque d'oxygène dans le sang.Elle pleure,sentant la douleur qui la fait crier par moment a chaque respiration qui lui brûle et qui est tellement bruyante.La gamine de trois ans semble pas comprendre ce qui se passe autour,n'atend pas ce qui se passe dans l'autre pièce,elle se sait seule c'est tout.

La forte fièvre qui la prend semble faire délirée la petite fille prisonnière de sa maladie.Qui sait si elle n'est pas contagieuse,si elle n'a pas attrapée une futur épidémie qui risque de ravagée le Puy ? Seul chose qu'on sait c'est qu'elle semble se battre seule contre se mal,essayant de garder courage,de rester forte malgré sa fatigue de persévré de pas abandonner,mais cela semble dure,les larmes coulent,elle souffre,elle respire casiment plus,transpire abondament puis un long frisson lui parcoure suivi d'un cri dut a ses douleurs thoracique,elle n'est plus capable...elle est bien trop petite pour endurer ce que peut-etre un adulte ne serait capable d'endurer lui même.Non,pas la petite Anastasia,la petite peste de le Puy,petite bouille énergique toujours en train de faire des bêtises et qui rêve d'apprendre comme Malta,Seathiel,Kid et tout les autres...

Le pouls accélère,ainsi que la respiration très bruyante au départ,elle ferme les yeux et semble abandonner,une dernière larme,une nouvelle respiration sifflante,comme si elle se laissait partir...

Une nouvelle vie va naître,tandis qu'une semble disparaître...

Skip a écrit

Citation :

Quand Skip vit Jeïna arrive il cria presque de joie.

-Enfin de l'aide!!! Tu peut t'occuper d'Aurely? Je vais aller voir Anastasia...

L'horreur, elle va mourir elle aussi... Il eu un haut le coeur mais se resaisie. Il courra dans la salle d'op, où il avait laissé son sac personnel, et prit une fiole de menthole. Il s'en mis un peu sous le nez. Il retourna ensuite vers Ana. Que faire? Si il savait ce qu'elle à... Il lui faudrais l'avis d'un autre médecin... Heureusement que Jeïna est là. Ben était atrocement long à revenir Les algue pourrons peut-être sauver Ana... L'eau servira à laver la petite au grand complet. Skip ajoutera des désinfectant à l'eau pour soigner l'extérieur. Il fouilla partout dans le cabinet. Il charchait quelque chose pour ventiller la petite et trouva un souflet. Petit certe, mais quand même, ça fera l'affaire. Manque plus que Ben et Skip pourra s'occuper de Nuit enfin...

Aurely a écrit

Citation :

Aurely remercia le ciel en entendant la voix de Jeina.
Jen, Jen ! Faut que tu viennes!! J'en peux plus ! Faut que tu m'aides! Il va sortir ... Aaaaaaaaaah !!
Aurely se tordit à nouveau de douleur. Les contractions étaient insoutenables, binetôt elle se sentirait obliger de pousser. Il fallait que le bébé sorte et vite.
Des perles de front suintaient sur son front. C'étaient la panique totale dans le cabinet, mais Skip allait avoir de l'aide et tout allait s'arranger... Avec la grâce du ciel ...

Bentich a écrit

Citation :

Auprès de son amour Ben sentit la main d'Aurely serrer la sienne, comme un aussi frêle jeune fille pouvait elle avoir autant de force, la pression exercée par les doigts d'Aurely faisait mal a Ben, mais il ne laissa rien paraitre ses pensées étaient tournée vers sa fille et sa compagne qui souffraient toute les deux

Ne t'inquiète pas amour, Ana est ici, dans un sale état mais elle est ici, et oui tout ira bien, je suis sur que Skip ou Jeina vont arrivé.

Dans l'entrefaite, Skip arriva en effet et s'occupa d'Aurely, ses paroles aurait en d'autre circonstances fait sourire. Il demanda à Ben d'aller chercher des algues pour soigner Ana. Mais a peine eut il le temps de se lever que Grandpas se proposa d'y aller a la place de Ben, et les arguments étaient logiques. Ben se rassit donc la main d'Aurely toujours dans la sienne

Je suis la amour, et Skip est un artiste, tout va bien se passer.

Dans les minutes qui suivirent, celle que Ben et Aurely attendaient, montra enfin le bout de son nez. Son regard en disaient long sur son état de gêne, mais qu'importe Jeïna était la et c'était le principal.

Dès que Skip l'aperçut, il la fit s'occuper d'Aurely et partit directement s'occuper d'Anastasia.

A la vitesse ou Grandpas était partit, il ne devait plus tarder à revenir.

L'attente de la naissance, la maladie d'Ana, tout cela mettait Ben dans un état proche de la panique, mais il devait être fort pour sa fille et sa tendre chérie.

Il sera bien temps après de craquer, d'abord les priorités, et craquer nerveusement n'en était pas une

Skip a écrit

Citation :

Skip entendit toussoter et sursauta en voyant Ben assis. Il se rappela vaguement de Grandpas et secoua une fois de plus la tête. Il prit le soufflet et le tendit à Bentich en lui pointant Ana.

-Tu va lui insérer le soufflet doucement dans la bouche et tu va pousser un peu d'air. Mais pas trop, ni trop vite, tu l'étoufferais. Il faut lui donner plus d'air que ce qu'elle prend en une inspiration normal. Tu pousse un peu d'air et tu compte jusqu'a 10 et tu repousse de l'air. Jusqu'a ce que Grandpas arrive avec l'eau et les algues. Tu m'apportera les algues.

Il prit un pot qu'il avait sortie avec sa fiole de menthole et le tendit à Ben.

-Tu mélangera ça à l'eau et tu lave ta fille au grand complet quand l'eau arrivera. Tu doit lui enlever tout ses vêtements et les jetter. Quand tu aura fini de la laver, tu l'habillera avec des linges propres. Tu pourra aussi la couvrir avec les couverture là-bas...

Skip fouilla encore dans son sac et en sortie une enième fiole. Il regarda dans son sac.

-Me reste plus grand chose moi...

Il tendit la fiole à Ben.

-Tu lui donnera trois goûte de ça. Ça va l'empêcher de vomir d'avantage.

Sans attendre plus Skip retourna auprès de Nuit. Il devait maintenant se dépêcher pour la sauver, sinon les séquelle au cerveau serait trop importante. Elle pourrait ne jamais se réveiller... Il prit donc son couteau et coupa la peau pour faire une ouverture qu'il rabata. L'os était à découvert. Il épongea un peu de sang et alla chercher son outil de torture. Il déposa la mèche sur le crâne de Nuit et commença à tourner le plus vite qu'il put.

Bentich a écrit

Citation :

Ben entendit Skip derrière lui, il se retourna et l'écouta attentivement. Il savait que le pauvre ne pouvait pas se couper en trois.

Il déposa un baiser sur les lèvres de son amour, pour se rendre auprès d'Ana,

Je suis la amour mais Ana à besoin de moi, et puis Jeïna est la, donc pas de soucis, je ne suis pas loin du tout.

Il prit le matériel que Skip lui avait donné, et se rendit dans la chambre d'Ana, Il déshabilla complètement sa fille, et la remit dans de nouvelles couverture, il monta a l'étage et prit quelques affaires des enfants de Nuit,

Vu la stature de la petite, les vêtements pour la nuit de Manon feront l'affaire pour quelques temps, et je suis sur que Nuit ne m'en voudra pas

Il redescendit, et caressa doucement le front de sa fille adorée, âpres quelques secondes, il lui donna les trois gouttes de la potion et commença l'opération soufflet en attendant que Grandpas ne revienne avec les algues.

Respire bien mon ange, papa est la et grâce aux bons médicaments du docteur Skip tu vas guérir,

Ben tout en insufflant de l'air, continua à parler à sa fille avec douceur et amour

Ma puce, tu sais que tu es tout pour moi, et je suis sur que ta maman veille sur toi, et grâce a elle, tu vas guérir, pense a Liam ton petit frère et à Malta et Aurore, et à celui ou celle qui est entrain d'arriver dans la pièce d'à coté. On à tous besoin de toi, même Aurely, accroche toi ma petite princesse.

Ben continua ainsi, attendant avec impatience que les herbes bénéfiques arrivent

Grandpas a écrit

Citation :

Grandpas était donc sorti en trombe du cabinet médical pour aller des algues. Vertes et qui ressemblaient à de la fougère avait dit messire Skip. Il mit quelques minutes à trouver la plante tant désirée pour sauver la petite fille de messire Bentich.

Il attrapa quelques algues et courut aussi vite qu'il le pouvait en direction du cabinet. Il était suivi comme son ombre par son loup, Baïkal. Ils arrivèrent enfin à l'endroit convenu. Grandpas ne prit même pas le temps de dire un mot à ceux qui attendaient dehors.

Il fit son entrée dans le cabinet et se rendit immédiatement auprès de messire Skip. Il lui tendit les algues.

Voi... voilà les... les algues... mes... messires, lui dit-il en tentant de reprendre son souffle.

Il regarda la petite puce qui n'allait vraiment pas bien. Puis de nouveau, il s'adressa au médecin.

Puis-je vous... vous être utile à autre chose messire? N'hésitez pas.

Puis il posa sa main sur l'épaule de messire Bentich et lui dit d'une voix douce mais franche.

Courage messire. Je suis persuadé que tout va bien se passer. En tout cas, vous pouvez compter sur mon aide et mon soutien.

Il jeta un oeil à Aurély qui, tout près, était sur le point de donner naissance. Près d'elle, Jeïna. Il sourit à la jeune infirmière et attendit les directives de messire Skip.

Jeïna a écrit

Citation :

Tout le monde sembla soulagé de la voir et personne ne lui reprocha son retard. Puis Jeïna vit partir Skip pour s'aoccuper des autres patients, la laissant gérer l'accouchement imminent. Apparement, c'était Ana qui allait mal. Elle adressa une petite prière our que la petite soit épargnée.
Aurely poussa un nouveau hurlement, Jeïna devait se dépêcher. Elle s'agenouilla devant Aurely. Elle passa sa main pour tester l'ouverture en lui adressant des mots rassurants :

Ne t'inquiète pas ma belle, je suis là !
On l'a déjà fait une fois, y a pas de raison...

Elle retira sa main.

Tu es bientôt prête, patiente encore quelques minutes et tu vas pouvoir nous le faire sortir.

Elle lui serra la main et lui adressa un sourire.
Plusieurs personnes allaient et venaient, elle n'y prêtait pas attention. Elle se concentrait sur la tâche qui l'attendait. La dernière fois, elle s'en était bien sortie, et sa filleule était en pleine forme. C'est d'ailleurs cet accouchement imprévu qu'elle avait géré seule qui lui avait valu sa place, ainsi que son aide dans la lutte contre la peste.
Elle revint au présent en voyant Aurely grimacer. Encore un peu de patience... Mais le plus dur restait encore à venir...

Aurely a écrit

Citation :

Aurely vit Ben partir vers Ana, tandis que Jen s'agenouilla et testa l'ouverture du col. Elle la rassure avec une voix douce et amicale.
Aurely savait que tout irait bien. Elle avait une totale confiance en Jeïna. Elle l'avait déjà aidé à accoucher pour Aurore. Comme elle l'a dit elle même, il n'y avait pas de raison pour que ça ne se passe pas comme prévu.
Jeïna retira sa main, et lui annonça que ce n'était pas suffisamment ouvert et qu'elle devrait être encore un peu patiente. Elle lui serra la main et lui sourit.
Aurely lui rendit son sourire amical. Une violente contraction la fit se tordre à nouveau de douleur, écrasant littéralement la main de Jeina. Aurely était épuisée par ses douleurs répétées. Elle continuait d'inspirer et de respirer profondément, en espérant que ça se termine le plus vite possible.
Elle sentait que le bébé arrivait, et qu'il ne demandait qu'à sortir. Mais il fallait encore attendre un peu, ne serait-ce que quelques minutes ...

Jeïna a écrit

Citation :

Jeïna sentit ses doigts s'écraser dans les mains de son amie quand Aurely lui serra la main lors de sa contraction. Elle garda un grand sourire sur son visage et ne laissa rien paraitre. Bon sang, elle aurait donné n'importe quoi pour que son amie la plus chère n'ait plus mal. Mais d'ici quelques heures, ce serait fini.
Après quelques minutes qui semblèrent une éternité, elle repassa sa main sous la jupe pour tester de nouveau l'ouverture.

Ecoute ma belle, je pense que ça y est presque.

Jeïna regarda et se rendit compte qu'Aurely n'était pas du tout dans la position la plus adéquate. Elle l'aida doucement à se redresser sur le lit, à demi-assise, appuyée sur deux coussins -elle avait choisi les plus confortables et les plus rembourrés de la pièce- et lui fit ensuite écarter les jambes, jupe relevée. Ainsi, le bébé sortirait plus facilement et sa soeur de coeur serait plus à l'aise.
En attendant, elle lui parlait d'une voixdouce et rassurante :

Alors ma belle, bientôt mère de nouveau ? Ah, ça va être chouette, un tit bébé... n'est-ce pas ? Vous allez être de super parents...

Elle essayait de lui changer les idées. Mais ça devait être bon maintenant. Après une dernière vérification, elle lui annonça :

Ecoute ma belle, on y est.... Va falloir être courageuse, car maintenant, quand tu sens une contraction, je veux que tu pousses de toutes tes forces.

Elle se tenait prête pour la première poussée. Elle regardait son amie dans les yeux, lui souriant, lui assurant que tout irait pour le mieux.

Bentich a écrit

Citation :

Toujours occupé auprès de sa fille, Ben vit arrivé Grandpas, celui donna les algues a Skip, Ben prit alors l'eau et y mélangea la pommade que Skip lui avait donne

Il entrepris de laver entièrement Ana, le plus consciencieusement possible mais le plus rapidement aussi qu'elle n'attrape pas froid

Ben la sécha, l'enfant était tellement affaiblie, quelle ne réagissait presque plus, mais sa respiration bruyante bine que ne laissant rien présagé de bon, rassurait ben sur le fait qu'elle vivait encore. Il la sécha et l'habilla avec une sorte de robe de nuit de Manon, et la remit dans le lit, en mettant les couvertures que Skip lui avait indiqué,

Se tournant vers Grandpas

Merci beaucoup messire, vos paroles me vont droit au coeur

Il se remit a murmurer a sa fille pour la rassurer, de sa présence, les hurlement de douleurs d'Aurely annonçait l'arrivée de leur cinquième enfant

Aurely a écrit

Citation :

Jeïna testa à nouveau l'ouverture et lui annonça que ça y était presque.
Jeina alla chercher deux coussins rembourrés qu'elle plaça dans son dos, pour qu'elle soit en position d'accouchement une fois qu'elle serait prête.
Elle lui parla doucement, essayant de lui changer les idées et de faire passer le temps un peu plus vite. Aurely acquiescaient à ses paroles, mais n'arriva pas à sortir un son, sauf quand elle criait de douleur. Elle essaya de lui faire un petit sourire, entre deux profondes inspirations.
Jeïna testa une dernière l'ouverture, et lui annonça que cette fois c'était la bonne. Elle lui demanda de pousser dès que la prochaine contraction se ferait sentir.
Cette dernière ne se fit point attendre, et se fit plus violentes que les précédentes. Aurely contracta tous ses muscles, n'ayant même pas la force pour crier. Elle serra la main, de sa soeur de coeur avec toute sa force, comme si Jeïna pouvait lui donner un peu plus de force pour pousser.
Aurely cessa de pousser, et retomba sur les oreillers. Elle essayait de reprendre son souffle, s'attendant à une autre contraction très rapidement. Elle était épuisée, et pensait qu'elle ne pourrait pas pousser une seconde fois. Pourtant elle n'avait pas le choix. La vie du bébé et sa propre vie en dépendaient. Elle ne savait pas encore où, mais elle trouverait de la force pour pousser, et pour donner naissance à son bébé.

Jeïna a écrit

Citation :

Aurely poussa sans un cri.
Jeïna l'encouragea, serrant sa main dans la sienne, ne quittant pas des yeux celle qui allait accomplir pour la deuxième fois ce qu'on appalle le miracle de la vie. Miracle plutot douloureux, mais bon.
Son amie semblait déjà épuisée. De plus, Jeïna n'osait imaginer à quel point ce devait être douloureux.
Elle attrapa une petite serviette et vint éponger le front de son amie où la sueur perlait sous l'effort.
Elle continuait de la rassurer d'une voix douce.

Ne t'inquiète pas, ça va aller... Bientôt, tu auras ton bébé dans les bras... Il faut juste que tu pousses encore un peu... Courage...

Jeïna tut le fait qu'il restait encore pas mal de travail. Elle affichait un grand sourire. Puis elle se remit en place. Les contractions étaient très rapprochées et le temps de séparation entre deux allaient diminuer de plus en plus au fil des minutes.
Elle devait se tenir prête et l'aider de son mieux

Anastasia a écrit

Citation :

De l'air ! De l'air ! On lui donnait de l'air ! Elle entendait une voix,mais n'était pas sur de qui c'était.Les yeux restant fermer,la douleur toujours grande au thorax,mais au moins on lui donnait de l'air.Elle était toujours aussi affaibli,mais un peu plus d'oxigène se rendait dans son sang grâce a l'intervention de quelqu'un,elle savait pas qui,mais elle se sentait moins partir.Elle se senti prendre,nettoyer,mais la tête balotante,fatigué,la respiration bruyante elle n'avait presque consience de rien.La petite Anastasia rouvrit les yeux,doucement,la respiration toujours encore bruyante,les larmes de nouveau venait au yeux la douleur thoracique était toujours plus douloureuse malgré tout.Elle vomissait plus,on lui donnait de l'air,mais ça restait douloureux,tellement qu'elle aurait aimer mieu de plus respirer de tout...

Un murmure vient alors a son oreille,ce n'était pas son père,n'y Aurely bref pas quelqu'un qu'elle connaissait qui était vivant.Elle referma ses yeux,son état était toujours dramatique mais prenait une tournure un peu plus bénéfique,elle avait repris courage et force en ce petit murmure,et cet image qu'elle avait en tête...elle en était sur,il n'y avait pas juste son père dans la même pièce que elle...et qui tentait de la guérir...

Aurely a écrit

Citation :

Jeina continua de l'encourager comme elle le pouvait.
Aurely sentit une contraction qui la contraignit à pousser. Tous ses muscles se contractèrent de nouveau sous une violente pulsion.
Elle détendit ses muscles et se relâcha sur les oreillers.
Elle reprit son soufffle pendant quelques secondes, jusqu'à ce q'une nouvelle contraction se fit sentiret la fit pousser de plus belle.
Elle ne se souvenait pas avoir autant souffert pour Aurore, bien qu'en réaltié, elle avait souffert plus , vu que c'était son premie enfant.
Elle cessa de pousser se relâcha de nouveau . Elle n'avait plus de force.


J'y arrivera pas , Jen... dit-elle en essayant de reprendre son souffle.

Mais elle n'en eût pas vraiment le temps car une autre contraction, la fit pousser encore une fois, plus fort encore. Si elle y arrivera. Elle l'avait déja fait une fois. Pas de raison d'échouer cette fois.
Elle souffrait comme elle n'avait jamais souffert. C'était long, c'était dur.
Mais elle y arriverait...

Jeïna a écrit

Citation :

Aurely n'en pouvait plus, et Jeïna ne pouvait que la rassurer pendant qu'elle poussait de nouveau.

Mais si ma belle, tu vas y arriver. Tu es forte et ton bébé sera bientôt là. Très bientôt même, tu pourras le tenir dans tes bras.

Elle s'interrompit pendant qu'une autre contraction faisait souffrir son amie, qui poussait le plus fort possible.

Allez, tu y es presque, il faut que tu continues. Courage, tiens bon.

Encore une contraction. Elles n'étaient plus séparées que de quelques dizaines de seconde, et Jeïna ne doutait pas de leurs violences.

Hé ma belle ! Je vois ses cheveux ! Tu vois, c'est bientôt fini !!! Allez continue. Pousse de toutes tes forces !

Aurely a écrit

Citation :

Jeina lui annonça qu'elle voyait les cheveux de son bébé.
Cet encourageament lui redonna des forces et du courage.
Une contraction la fit pousser de toutes ses forces, encore et encore ....
Puis elle se relâcha. Elle regarda Jen et lui demanda d'appeler Ben. Elle savait qu'il n'était pas loin, avec Ana. Mais elle avait besoin de le voir, elle avait besoin de son soutient.
Une contraction arriva. De nouveau elle poussa de toutes ses forces. Elle relâcha la pression et souffla.
Elle n'avait pas le temps de reprendre son souffle. Les contractions s'enchainaient désormais. Elle poussa, une fois, puis une deuxième fois et enfin une troisième, en ne reprenant que très peu son souffle .
Il fallait continuer à pousser, c'était presque fini.

Jeïna a écrit

Citation :

Jeïna trouvait Aurely vraiment courageuse. Les contractions s'enchainaient à une vitesse grandissante. Mais c'était bientôt fini.

Continue ma belle.

Elle lui demanda d'appeler son fiancé, le père de son enfant. Jeïna lui sourit et tourna la tête vers la porte :

Beeeeeeeeeeeeeeeeeeeen !!!! Viens vite, ton enfant arrive !!! La tête est sortie !!!

Jeïna tenait en effet la tête du bébé dans sa main. Elle se rendit compte qu'elle avait oublié de prévoir un linge propre pour recevoir le nouveau-né. Elle se tourna à nouveau :

Beeeeeeeeeeeeeeeeeeeeen !!! Profites-en pour m'apporter un linge propre et chaud de préférence si tu trouves !!!

Puis elle encouragea Aurely à pousser de nouveau. il était maintenant à moitié sorti, le plus gros était fait. Il fallait juste qu'elle termine.

Encore un dernier effort ma belle. Allez !!!

Bentich a écrit

Citation :

Toujours occupe a veiller sur sa fille, Ben entendit soudain un cri, une prière dira t'on , Jeina venait de l'appeler, le bébé arrivait

Il se pencha vers Ana,

Ma chérie le bébé arrive, je te laisse quelques minutes, tu sais que tu n'est pas seule ma chérie, papa est la et maman veille sur toi de la haut

Il déposa un baiser sur le front brûlant de sa fille et lui essuya une dernière fois la sueur qui perlait sur son front

Un draps propres ok, mais chaud elle est marrante elle,

Ben regarda tout autour de lui et vit son bonheur près de la cheminée.

Il se dirigea vers la salle ou était Aurely, en entrant il vit son amour dans une position disons assez inconfortable, et Jeina penchée sur elle

Tien Jen ce que tu m'as demande, on en est ou la?

Il s'approcha près d'Aurely lui essuya le visage déposa un baiser sur ses lèvres et lui prit la main,

Ca va allez ma chérie, c'est bientôt finit tu verras, et je suis la mon amour

Il sourit a sa compagne et automatiquement faisait les mêmes gestes de respirations qu'elle, pourquoi il le faisait il n'en savait rien mais il le faisait

Jeïna a écrit

Citation :

Ben arriva presque tout de suite et, quelle chance, avec un linge propre et chaud. Elle le remercia et le prit.

Allez ma belle, il est presque sorti là, un dernier effort, courage.

Une dernière contraction. Elle pousse et le bébé se retrouve dans les bras nus et poisseux de Jeïna. Et son premier cri résonne dans la pièce. Jeïna a un grand sourire accroché aux lèvres. Elle le tient avec précaution.

Ben, s'il te plait, donne-moi un couteau. Nettoie-le en le passant dans les flammes de la cheminée.

Pendant qu'il s'exécute, elle s'empare du fil à côté. Le bébé pleure, c'est très bon signe, il va bien. Ben lui apporte ce qu'elle a demandé, et elle coup le cordon ombilical. Elle le noue à l'aide du fil et emmitoufle le bébé dans le linge après l'avoir un peu nettoyé. Alors elle le tend à Aurely sous les yeux de Ben.

Tenez. C'est un magnifique petit garçon ! Et il est en parfaite santé.

Jeïna est émue aux larmes en regardant la jolie petite famille. C'est ça, le miracle de la vie.

Bentich a écrit

Citation :

Ben ressentait la douleur de sa chérie, mais pas dans le bas ventre mais sur sa main, elle serrait tellement fort, que Ben ne sentit plus ses doigts.

Puis tout d'un coup un cri, plutôt des pleurs d'enfants, ceux d'un nouveaux né, Jeina demanda a Ben un couteau, il s'exécuta. Jeina après avoir coupe le cordon et emmitoufle le bébé, le donna à Aurely

Voici notre fils mon amour, regarde comme il est beau

Ben ne put s'empêcher de sourire, mais les larmes de joies coulèrent des ses yeux, il embrassa Aurely et déposa un baiser sur le front de leur bébé.

Jeina merci pour tout ma belle

Le bonheur se lisait sur le visage des deux parents, les cris du petit avaient diminue quand il sentit qu'il se trouvait dans les bras de sa mère
Bien que les pensee de Ben se trouvaient dans l'autre pièce, il essaya de ne rien laisser paraitre

Aurely a écrit

Citation :

Aurely poussait de toutes ses forces, sous les encouragements de sa meilleure amie et avec le soutien de son amour.
Elle poussa encore deux fois avec les forces qui lui restaient. Elle relâcha la pression et s'affala sur les oreillers. Elle était à bout de force...mais elle avait réussi... Elle avait, de nouveau, donné la vie à un petit être...
Elle entendit les cris du petit. Il allait bien et il respirait. C'était déja une bonne nouvelle. Elle expulsa le placenta dans un dernier effort, pendant que Jeïna coupait le cordon ombilical
Jeina annonça que c'était un garçon. Un fils ... elle lui avait donné un petit garçon. Jeïna lui amena leur bébé, emmitouflé dans les linges chauds. Elle le prit dans ses bras, et sentit des larmes de bonheur couler sur ses joues. Elle serra le petit être contre son coeur. Ben pleurait de joie. Il l'embrassa et posa un baiser sur le front du petit. Aurely regarda dans son fils, le coeur débordant de bonheur et lui dit:

Bienvenu parmi nous, mon petit Gabriel.

Elle embrassa son petit ange avec tout l'amour dont son coeur débordait.
Puis elle le tendit à Ben en souriant

Voila, ton fils chéri. Voila notre fils !

Elle lui adressa un sourire rayonnant, tandis qu'il le prennait dans ses bras. Elle fit signe à Jen d'approcher:

Merci Jen! Je sais pas ce qu'on aurait fait sans toi. Encore une fois tu as assuré! Merci pour tout!

Elle embrassa son amie et la serra dans ses bras.
Elle était plus qu'épuisée. Elle n'en pouvait plus. Mais elle était heureuse, heureuse d'avoir réussi cette épreuve de force, heureuse d'avoir fait naître le petit Gabriel. Elle regarda Jeina, et son visage fût assombri par un voile d'inquietude:

Jen, comment va Ana ? Dis moi qu'elle va bien !

Elle regarda Jen avec des yeux la suppliant de lui dire que sa fille allait bien.

Jeïna a écrit

Citation :

Ainsi, le petit se nommait Gabriel.

C'est vraiment un très joli prénom.
Toutes mes félicitationss encore !!!

Elle serra fort son amie dans ses bras.

Tu sais, je suis très honorée d'avoir été là pour l'événement !
Je suis sûre que vous ferez des parents formidables.

Aurely commença alors à s'inquiéter pour son autre fille, dans la pièce à côté, et lui demanda d'aller voir.
Jeïna ne voulait pas qu'elle sinquiète surtout. Pas maintenant.

Profite que je vais voir pour allaiter ton petit bout de chou, le pauvre, il doit être affamé ! Il a droit à son premier repas !

Elle lui fit un clin d'oeil pendant que Ben, dont le visage rayonnait de fierté, rendait la petit à Aurely.
Elle sortit de la pièce et se dirigea vers la chambre de la petite Ana, qui avait la respiration sifflante. Elle avait été laissée seule.
Jeina s'assit son chevet. Elle respirait bien. Ne voulant pas qu'elle reste seule à nouveau, c'était vraiment trop imprudent, elle resta à ses côtés, attendant que quelqu'un vienne. En cas de besoin, on l'appellerait.
Elle lui parla d'une voix douce, calme et rassurante, et lui caressait doucement les cheveux :

Ca va aller Ana, tiens bon. Et bientôt, tu pourras aller saluer ton petit frère... Il est très mignon tu sais.

Elle trouva un linge et s'en servit our essuyer la sueur qui coulait sur son front. Voir une enfant souffrir lui serrait le coeur, d'autant plus que c'était la fille de son ami...

Aurely a écrit

Citation :

Aurely regarda Jeina aller au chevet d'ana, tandis que Ben lui rendit Gabriel. Elle sortit son sein, et allaita son fils pour la première fois.
Elle ressentit un immense bonheur et regarda son bébé avec fierté et amour. Elle murmura une petite berceuse tout en allaitant son bébé.
Un sourire béat était affiché sur son visage.

Anastasia a écrit

Citation :

Une forte fièvre restait obstinément présente,la douleur au thorax,les brûlure qu'elle ressentait a chaque respiration qui lui était difficile le peu d'air que se rendait dans son sang,plus personne ne lui donnais de l'air,il fallait qu'elle tienne bon avec ce que ses bouffée était capable de prendre,c'est-a-dire peu.Elle avait si mal,le poul et la respiration avait de nouveau repris un rythme acceleré ce qui aidait pas les douleurs que la gamine de trois ans avait,elle succombait doucement à sa propre maladie.

Elle voulait vivre,elle voulait pas partir même si les souvenirs de deux bras,de sourire et de rire de sa mère lui manquait,dans quelques année elle s'en souviendras peut-etre plus,il lui faudrais quelqu'un pour lui raconter les drôle d'histoires et les bêtise de sa mère...mais pour le moment elle se souvenait...

La présence de son père,d'Aurely lui était importante,Aurely n'était pas une mauvaise mère,seulement la gamine savait qu'elle ne l'avait pas mis au monde,que ses caresse,ses sourires ne serait jamais pareil que l'amour que lui avait donné sa propre mère,elle retenait de celle-ci.Liam son frère,plus calme ne pouvait se souvenir,il était bébé,encore nouveau née quand la petite Ana c'était ramassé dans de nouveau bras féminin,le changement lui avait été alors très difficile et même encore aujourd'hui,elle se sentait tellement seule,s'ennuyait souvent,et fuguais pour aller chercher une certaine attention ou seulement pour être seule,tranquille ou tenter de se faire des amis.

La respiration s'éteignait,elle parlait pas,la douleur l'envoyais doucement dans les vappes,perdant la force de se battre,malgré tout l'énergie qu'elle dégageait en bonne santé,les rires,les sourire toute les bêtises elle était triste,se sentait souvent seule,et jalouse de ses soeurs et frère qui semblait avoir plus d'attention...avant elle avait sa marraine,Bouzimir,mais celle-ci l'avait aussi abandonnée,la petite avait les yeux violets éclatant qui cachait un regard triste.

Le murmure de plutôt lui vint à son oreille,elle ne savait meme pas que le bébé était née,que son père était parti que c'était Jeïna qui lui parlait,elle était parti vers le murmure qui s'emplifiait pour devenir voix,elle se dirigieait vers le dessin qu'elle voyait,l'image qu'elle se rappelait,des cheveux dans le vent,un sourire généreux,des yeux violets comme elle...

Môm...Môma !!

Elle savait qu'elle était pas seule,il avait sa mère qui la surveillait de son petit nuage blanc,qui l'aimait quand même de la haut,c'était elle qui l'aidait a s'endormir quand elle y arrivait pas,qui la surveillait,la soignait,lui évitait de se faire mal,c'était son agen gardien.

Ma p'tit Ana chérie,tu sais,r'garde ma chérie là-bas,il y a Papa Ben,puis maman Aurely,et r'garde c'est ton nouveau petit frère,Gabriel,oui oui ma puce ! Et là c'est Jeïna...écoute ce qu'elle te dit..

Ca va aller Ana, tiens bon. Et bientôt, tu pourras aller saluer ton petit frère... Il est très mignon tu sais.

Il faut continuer a se battre ma puce,soit fière de ta maman,faut pas baisser les bras comme ça ma petite princesse,tu es la fille de Jamelia,d'accord,je veux pas que tu abandonne,c'est pas le moment,tu vas y arriver mon coeur,tu es capable...

Elle délirais,écoutait ses paroles dit par son souvenir,la fièvre durant se temps avait augmenter encore,sa respiration s'arretait doucement,elle était en train de partir la petite Ana,s'envoler,pourtant quelque chose semblait retenait l'âme de la gamine,...Une brise passagère passa dans la chambre..

Ana veux rester avec môma....

Elle pleurait,elle voulait pas s'en retourner dans la réalité,se souvenir pouvait lui donné ce qu'elle recherchait,ce qui lui manquait,même si la réalité ne lui était pas mauvaise,la phrase de Jeïna...les paroles de cette image....

Anastasia ! Pense a ton frère Liam ! Il a besoin de toi,papa a besoin de toi,Aurely,Malta,même Aurore ont besoin de toi mon ange,je serais toujours là,il faut rester forte...Te souviens tu de ta berçeuse ?
Dort mon ange,ma petite princesse....

Anastasia se mis a chanter dans ses songes,les larmes au yeux,laissant doucement s'en aller l'image de cette femme dont beaucoup se rappellait pas,délaissée,laissant coulé la tristesse qui avait envahi le coeur de l'enfant,...tandis que là bas,dans la réalité,elle ne respirait plus...

Jeïna a écrit

Citation :

Jeïna continuait de caresser doucement ses cheveux, quand elle vit la petite s'emballer. Elle semblait délirer. Sa respiration sifflante devint irrégulière, ce qui alarma Jeïna. Elle commença à stresser.

Ana ! Non, tiens bon ! Allez, courage....

Elle se pencha sur la petite. Sa respiration s'était arrêtée.

Oh non ! Pas ça, non !

Elle se redressa, complètement paniquée maintenant. Un soufflet se trouvait à côté, mais elle n'avait jamais fait ça. Des larmes lui montèrent aux yeux.

SKIP !!! hurla-t-elle. Skiiiiiiiiiip viens vite !!!

Elle savait qu'il était occupé avec Nuit. Elle mit alors Ana sur le dos, la tête légèrement penchée en arrière, la bouche ouverte. Mais elle ne respirait plus.
Devait-elle lui faire du bouche-à-bouche ? Elle était malade, et Jeïna risquait de tomber malade à son tour si elle faisait ça. D'un autre côté, une enfant était en train de mourir sous ses yeux.
Elle pleurait pour de bon maintenant.

Pitié, que Skip arrive vite... pria-t-elle.

Elle n'était qu'infirmière, et encore, plus sage-femme qu'infirmière d'ailleurs. Elle ne savait pas quoi faire. Elle paniquait, sans quitter des yeux le petit corps inanimé.

Bentich a écrit

Citation :

Le visage radieux, les yeux embués par les larmes de joies, Ben souriait a Aurely, leur fils était né, quel bonheur.

Mais les effusions de joies furent de courte durée, Ben entendit Jeina crier, hurler même, il se passait quelques choses avec Ana. Ben embrassa Aurely

Mon cœur j'arrive, je crois qu'il y a des soucis avec Ana.

Aurely donnait le sein a Gabriel, et Ben quitta la pièce précipitamment pour se rendre dans la chambre de Ana, et la il comprit de suite, la petite avait énormément de mal a respirer, et Jeina ne savait vraiment pas quoi faire, il est vrai que Skip ne lui avait pas explique a elle. La petite délirait et la fièvre était au maximum.

Attend Jeina je m'en occupe, Skip m'a explique ce qu'il fallait faire.

Ben repris le soufflet et recommença a insuffle de l'air dans les poumons de sa fille, en même temps il lui parla doucement

Mon cœur, ma princesse, soit forte, tes frères et sœurs ont besoin de toi, maman Aurely aussi, et moi ma chérie j'ai très besoin de toi, ta marraine Bouzimir aussi, je sais que tu souffre , que ta maman te manque, mais je suis sur que de la haut ou elle est elle doit être triste de te voir malade, et elle fera tout pour que tu reste, peut être même est elle la prés de nous, et elle doit être très triste de voir malade, on a pas reussis à surmoner les obstacles qui se sont mis sur notre route pour que tu abandonne, sois forte mon ange, et la mauvaise maladie va partir et te redonner ta joie de vivre.

Ben continuait de souffler de l'air au rythme que Skip vous avait dit.

Les larmes coulait sur son visage, son, cœur était meurtri, le bonheur d'avoir un nouveau fils était la mais, la tristesse de voir sa fille ainsi, effaçait ce bonheur, mais heureusement que Jeina et certains de ses amis étaient la.

Jeina, ca va allez, va vite prés d'Aurely, je reste avec Ana et si je dois retourner vers elle et Gabriel, tu vois comme on fait avec le soufflet.

Il sourit a son amie, et continua a s'occupe de la prunelle de ses yeux, sa fille, qu'il chérissait au plus au point.

Skip a écrit

Citation :

Skip entendit Grandpas arriver et le fit taire rapidement. Déjà qu’Aurely le déconcentrait énormément, bien malgré elle, si en plus on vient lui crier dans les oreilles… Il avait presque fini de percer. Ça avait été plus long que supposé parce qu’il ne voulait pas endommager trop et la chaleur qu’il créait en tournant pouvait causer des dommage supplémentaire au cerveau probablement déjà irrémédiablement endommagé. Le trou fut enfin terminé. Une humeur rougis par le sang coula et Skip l’épongea doucement. Il tendit la main vers son pot d’argille et remplis le trou délicatement. Il replaça la peau et coupa autour du trou pour le laisser béant. Il plaça un bandage léger et regarda son travail, fier de lui, en espérant que Nuit pourrait se réveiller. Il avait encore 30 minute devant lui avant qu’elle ne commence à se réveiller. Il se rappela de Grandpas. Il prit les herbes rapidement, presque brusquement.

-Merci! Merci beaucoup!

Il se dirigea rapidement vers le comptoir et jetta les algues dans le mortier qui s’y trouvais. Il commença à broyer rapidement et vigoureusement les herbes. De sa main libre il prit le pot posé juste a coté qu’il avait préparé et en vida le contenue dans le mortier. Il mélangea vigoureusement le tout en y ajoutant de l’eau d’une bouteille. Il laissa reposer le liquide pâteux pendant qu’il trouvait, dans son sac, le dernier morceau de toile qu’il lui restait et le déposait au fond du pot qu’il avait vidé. Il transvasa la mixture dans le contenant et referma la toile pour former une poche. Il releva la poche et compressa le contenus pour en sortir le plus de jus possible. Cela fait il alla rejoindre Bentich auprès d’Ana. Quand il la vit innanimé il soupira.

-Combien de temps ne lui a tu pas insufflé d’air? Allez sa suffit, je vais prendre le relait. Ne t’en fait pas pour elle, elle va s’en sortir, foi de Skip.

Il embarqua sur le lit en se mettant à genoux au dessus de la petite fillette et commença le massage cardiaque. Cinq coup sur la poitrine, un souffle, cinq coup, un souffle…

Grandpas a écrit

Citation :

Grandpas n'avait pas particulièrement aimé la façon dans messire Skip l'avait rembarré. Il n'avait à aucun moment hurlé mais était essoufflé d'avoir couru pour rendre service.
Il était resté dans un coin afin de ne pas dérangé mais tout de même visible au cas où.

Il entendit les cris du bébé de son Amie Aurély et de Ben. Il attendit quelques minutes avant de se rendre auprès du couple pour le féliciter. Il s'approcha et serra chaleureusement la main de Bentich puis fit une bise sur le front d'Aurély. Il fit aussi un gros baiser sur la joue de Jeïna qui avait aidé Aurély à donner naissance à son fils.

Je tiens à vous féliciter pour ce petit miracle de la vie. Tous mes voeux de bonheur à vous tous. Et je suis sûr que messire Skip saura guérir la petite Anastasia.
En tout cas, vous pouvez compter sur moi en cas de besoin.

Puis il sortit, laissant les parents avec leur petit garçon qui répondait au doux nom de Gabriel.
Il passa près de l'endroit où reposait Nuit. Il jeta un oeil et vit qu'elle semblait éveillée. Il s'approcha doucement d'elle et la regarda en lui souriant.
Puis, d'une voix toute douce il lui dit.

Bonjour toi. Alors, tu nous as fait une belle frayeur!

Il prit sa main dans la sienne et la lui caressa doucement pour lui montrer qu'elle n'était pas seule dans cette dure épreuve et qu'elle pouvait compter sur lui.

Bentich a écrit

Citation :

Toujours occupé avec le soufflet, Ben se rendit compte que cela n'allait pas, mais il continuait avec acharnement, sa fille devait vivre et rien ne pourrait empêcher cela. Tout à coup Skip entra et sur un ton assez sévère lui posa la question du temps qu'elle n'avait pas été insufflée.

Ben le regarda sans mots dire, le temps pour lui s'était arrêté, et il n'aura pas su répondre a sa question.

Skip prit alors le relais. Ben le regarda effaré, la façon de faire du médecin mendois était assez spéciale, mais bon Ben lui faisait confiance il devait savoir ce qu'il faisait.

Il le laissa donc faire sans rien dire, quitta la pièce pour rejoindre sa chérie, des qu'il fut dans la pièce Grandpas arriva et les félicita pour la naissance, tout en espérant qu'Ana aille mieux.

Merci a vous messire, mais j'ai confiance en Skip

Ben embrassa Aurely des que Grandpas eu quitte la salle, et retourna dans la chambre d'Ana

Anastasia a écrit

Citation :

La berçeuse jouait toujours le son agréable berçe la petite fille,les cheveux flottant,les yeux moins embué de larmes,un petit sourire en visage,elle se sentait bien,bien de se faire enveloppé de l'aura de sa mère,bien d'entendre sa voix dans son délire....Fini la tristesse,fini les larmes elle se laissait au gré de ses souvenirs,de la chaleur maternelle,des bisous,au gré de sa chanson,cette si magnifique chanson qui la rassurait tant quand elle était petite,quand les cauchemars la prenait et qu'elle croyait qui avait des monstres dans l'amoire.

Dans son idéal,le monde qu'elle c'était crée dans son délire,il n'avait pas de monstre que douceur et amour,tendresse et affection.Elle planait,des enfants jouais,riait,tout était beau,aucune haine,le monde parfait.Elle ne voulait pas revenir dans la réalité,malgré le dessin de sa mère qui s'en allait,elle gardait la berçeuse le souvenir de la voix pour rester encore dans l'univers qu'elle s'était inventée malgré les dires de sa mère,pour elle ici,c'était plus beau que en bas...

L'image revint,plus nette,plus belle et surtout plus douce,elle prenait Ana par la main,elle lui fit un petit voyage,comme si Jamelia devenait son guide,pour aider la petite a faire son choix entre vivre,ou mourir.

Regarde Ana,...Tu vois,c'est Liam,il est devient grand han ? Il va bientôt pouvoir marcher tout seul ! Regarde le jouer avec les blocs,il serait triste non de savoir que sa grande soeur va pas bien...et tu vois le dessin,il l'a fait pour toi,et en a mis partout sur le planche,Papa sera pas très content....

L'image de la jeune femme sourit,les yeux aussi violet que l'enfant,elle lui caressa tendrement la joue,effacant de se petit visage d'ange une larme.

Pleure pas,je suis là ma petite abeille,maman va rester jusqu'au bout avec toi,c'est promis.

D'autres personnes défila devant les yeux de la gamine,Les poms poms,sa marraine,Tessay et bien d'autre qui avait du faire apparaitre pour un instant un sourire sur la petite.Jamelia lui montra alors une image qui boulversa l'enfant,enfin deux images....Celle de Jeïna paniquée et pleurant,puis peu de temps celle de son père les larmes coulant sur son visage,soufflant dans son petit corps

Pou quoi ils pleure ?

Tu ne respire plus ma puce,ils sont triste,triste de te voir 'abandonner,triste de te voir partir,triste de voir dispaître la petite Ana malgré toute ses bêtises,ils t'aiment ma chérie,comme moi,et ils veulent pas que tu les laisses tu comprend ? Maman ta fait beaucoup de peine quand elle est parti n'est ce pas mon ange ? Bah cette peine là que tu a senti dans ton petit coeur Jeïna et Ben ils la sentent eux aussi.

Anastasia regarda un moment la scène avant qu'une autre défile,elle voyait Malta,Aurore,et tout les enfants de l'école.Mais sa mère ne fit aucun commentaire,...Puis vint l'image d'Aurely tenant dans ses bras un bébé...

Cé mon tit frère ?

Oui Ana,c'est ton petit frère,Gabriel,il aura besoin de toi lui aussi,comme Malta a pris soin de toi et Liam,il lui faudra une grande soeur pour lui apprendre des choses pendant que Malta est a l'école,tu le pense pas mon amour ?

Elle hocha la tête.

Oui ! Va lui monter plein de chose,comme ak Liam a môma ?

L'image fit signe que oui,prenant la gamine dans ses bras,et l'embrassa sur la joue..une autre scène se déroula devant elle,un homme a genoux appuyait sur sa poitrine et l'embrassait..

No mé môma,quoi il fé le vieux ?

Il essai de te sauver la vie ma grande,c'est ici que tu dois faire ton choix,plein de gens t'attendre,Papa,Aurely,Liam,Malta,Aurore,Gabriel et plein d'autre,tous on besoin de voir ta petite bouille tes sourires et avoir tes câlin,bien plus que moi...

Je t'aime môma...

Je t'aime aussi Anastasia...je t'aime aussi...bat toi ma chérie,ils t'aiment...on va se revoir je te le promet...

Môma...

Un dernier bisous,un dernier regard et la berçeuse revint pendant que le monde tel la gamine avait voulu l'imaginer se dissipait,le bruit,les odeurs la pression de main sur son thorax douloureux....elle revenait,elle revenait à la vie,elle avait fait son choix,celui de se battre,pour que sa mère soit fière d'elle...Elle respirait de nouveau !!!!

Skip a écrit

Citation :

...Cinq coup, un souffle! Cinq coup... Un souffle... pas celui de Skip, celui d'Anastasia. Il retourna au sol.

-C'est bien mon enfant!!! Respire! Tu doit encore vivre! Ben!!! Ta fille!!! Elle va vivre! Elle respire à nouveau. Grandpas? Ben? Je vais avoir besoin de vous deux.

Skip reprit le pot qu'il vait posé sur une petite table et le tendit à Bentich.

[b]-Fait lui boire doucement ce liquide. Par petite gorgé! Grandpas, si tu veut mon ami, va la tenir assise pour que ce soit plus facile. Après ça elle va dormir. Faudra lui insuffler de l'air encore, mais moins souvent.

Skip se souvenait alors du ton qu'il avait utilisé contre Grandpas et Bentich. Il regarda les deux hommes tour à tour, mais plus particulièrement Bentich.

-Désolé messieurs! Pardon Ben pour t'avoir parler aussi brusquement. Ce n'était pas ta faute. L'important c'est qu'elle respire et vive. Elle vivra. Et après, tu verra, dans quelque jours, elle retournera courir dans les champs. C'est moi qui te le dit. Maintenant je vais aller voir Nuit, faut pas qu'elle bouge trop, son crâne doit lui faire atrocement mal et j'ai peur des dommages qu'elle peut avoir.

Et Skip laissa les deux hommes seuls pour aller voir Nuit.

-Bonjour Nuit! Comment va tu aujourd'hui? Pas trop mal à la tête?

[b]Bentich a écrit

Citation :

Pendant que Skip tentait de faire revenir à la vie sa petite chérie de fille, Ben ne savait plus que penser, comment Aristote pouvait il lui enlève une des six personnes qui lui était le plus cher au monde, sa fille Anastasia, avec laquelle il avait passé tant d'epreuve, la disparition de Jamy, l'orphelinat, l'affrontement avec la In Tenebris, le départ de Eno, par la faute de Ben bien sur, non c'était impossible, le tout puissant ne pouvait pas faire cela.

Les cris de Skip le sortir de sa torpeur

Ben!!! Ta fille!!! Elle va vivre! Elle respire à nouveau.

Une joie immense apparut sur le visage encore crispé de Ben,

Ma fille va vivre, merci à toi Skip, mon ami, je ne sais comment te remercier, et ne t'inquiète pas je comprends tu as été légèrement bouscule par les événements, Nuit, Aurely et Ana, tout ça en une soirée, pas évident je l'admet.

Ben prit ce que Skip lui donna et fit boire Ana, par petite gorgée, avec l'aide de Grandpas qui avait été attiré par les cris du médecin mendois.
Dès que la petite eut finit de boire la potion, Ben se remit doucement à lui insuffler de l'air avec le soufflet, elle reprenait des couleurs et doucement, il sentit qu'elle commençait à avoir un sommeil très calme, dès qu'il fut sur que tout allait bien il la laissa se reposer, pour rejoindre Aurely, remercia Grandpas pour son aide, déposa un baiser sur le front de sa fille

Tu vois mon ange, tu vas guérir et si j'en crois ce que mon cœur me dit, ta maman est très fier de toi, et je la remercie d'avoir veillez sur toi, car je suis sur que de la haut elle t'as aide a surmonter la douleur, je t'aime ma petite princesse, je vais maintenant te laisser te reposer un peu je reviendrai dans quelques minutes, je vais voir ton petit frère Gabriel et Aurely tu verras on va être heureux tout les sept à la maison.

Il quitta la pièce avec anxiété, mais savait que maintenant le plus dur était passé, et que bientôt toute la famille serait réunie à la maison pour fêter la naissance de Gabriel.

C'est le sourire aux lèvres que Ben rejoignit Aurely et Gabriel, il s'approcha à nouveau d'eux embrassa tendrement son amour.

Ana est sauvée mon ange, je dois juste allez voir de temps en temps pour l'aider à respirer, mais Skip à dit que tout allait bientôt n'être qu'un mauvais souvenir