Chasse à l'homme (armée)

[Bureau du Lieutenant]

Brigand a écrit:: L'homme avait pû penetrer sans aucun probleme dans la caserne du Puy et se dirigeait maintenant vers le bureau du Lieutenant. Il avait deja le plan en tête ; crocheter la serrure, voler ce qu'il voulait et repartir en profitant de l'obscurité.

Mais il y avait un hic : il entendait du bruit dans le bureau du Liuetenant de la caserne et il reflechissait à toute vitesse pour trouver un e excuse, puis rassemblant son courage, il toqua à la porte en disant

Lieutenant, j'aimerais vus parler en quatre yeux, c'est par rapport à une escorte assez perilleuse et vos hommes m'ont conduit ici!

Puis il essaya de se composer le visage le plus amical qu'il pouvait faire et attendit que le Lieutenant donne une reponse.

sultan a écrit:: Se preparant pour son depart, sultan se trouvait dans son bureau afin de verifier ses indications qu'il laisserait au sergent. Lorsque soudain, on frappa a sa porte.

Une escorte? c'est donc un simple paysan, mais que fout la garde de le laisser passer.

entrez!!

L'homme entra dans le bureau

que puis-je pour vous? vous m'avez parler d'escorte, attendez que je regarde dans mes papiers, il doit certainement en avoir une trace.

le lieutenant se tourna vers l'armoire derriere son bureau, tournant le dos au paysan.

Brigand a écrit:: L'homme fit un sinistre sourire lorsque le Lieutennat de la caserne se tourna vers une des armoires pour chercher les fiches des escortes prevues ... même plus besoin de chercher par lui-même, le Lieutennat vient de lui mâcher le travail ... Excellent!
Promptement, il saisit un des trophées qui ornait le bureau et lecrasa contre la nuque de ce brave Lieutenant, qui s'affala au sol, inanimé.

Le brigand enjamba le corps du Liutenant et prit les fiches d'escortes des jours à suivre, pour voir les cibles faciles, les glissa sous sa tunique, puis sortit discretement du bureau, passant inaperçut dans les couloirs quasi-deserts.

sultan a écrit:: Un choc froid et violent. Voila ce dont se rappelle le lieutenant aprés une demi-heure d'inconscience.

Merde, qu'est-ce qu'il s'est passé?

reprenant peu a peu ses esprit, assis sur le sol, sultan se souvient du pseudo paysan arrivé dans son bureau juste avant le choc.

A moi !!! La garde!!!!

aussitot, des soldats surgirent de partout. Se massant le coup, le lieutenant leur donna les directives.

Je me suis fait agresser dans mon bureau par un brigand, retrouvé le immediatement!!!
Arthos, jeina, au post de garde, verifier qu'il ne s'est pas enfuit.
Yvane, elloras, au terrain d'entrainement, idem
Bentich, a l'armurie
Sir hugo, a l'infirmerie
thworn, au dortoir.

Execution!!!!
trouvez le !!!!

HRP/ RP "chasse a l'homme" lancé / hrp

Arthos. a écrit:: Dès qu'il avait entendu l'appel du lieutenant, Arthos s'encourt vers le bureau de l'officier.
Arrivé là, il apprend, en même temps que les autres soldats, qu'un brigand prisionnier vient de s'évader.

Sans même que quel'un ait le temps de dire quelque chose, les consignes sont déjà donnée...
Pour Arthos et Jeina, c'est direction le poste de garde... Et le barbu décide qu'il est préférable de ne pas trainer par ici vu l'insistance de l'ordre donné, aussi s'en va-t-il directement là où il doit aller.

sir_hugo a écrit:: Sir_hugo, était tranquillement dans le dortoir, en train de se reposer tranquilement, après son entrainement. Il était pésiblement couché sur le lit, les mains derrière la tête. Il était dans ses songes, il pensait, il rêvait.. D'un coup, il entendut un cri, un énorme cri qui le sortit de ses pensées. Il lui avait sembalit que c'était e lieutenant. Que se passe-t-il encore.., pensa Hugo, un peu énervé d'être dérangé. Il se leva assez rapidement, prit son épée sur lui, au cas ou. il se dirigea vers le bureau du lieutenant, ou il lui avait semblait entendre les cris. Quand il vit un grand nombre de ses camarades sur place, il se hatta, il c'était passé quelque chose de grave, Hugo le savait.

Il se dépêcha donc, la main sur son épée, et écouta les ordres du lieutenant. Un brigand? Ici dans la caserne? Pas possible ça, faut le retrouver au plus vite !!, pensa Hugo. il écouta les ordres jusqu'a la fin et lui, devait se poster à l'infirmerie et seul. Il n'aimait pas être seul, mais les ordres sont les ordres. Il allait y aller seul, et était déterminer a débusquer ce malfrat. Il se mit devant le lieutenant, et en se mettant au garde a vous, il lui dit:

-A vos ordres mon lieutenant, je vais faire mon maximum pour essayer de chercher ce brigand!!

Après ces paroles, Hugo partit, la main sur l'épée et le coeur battant, en direction de l'infirmerie. il aimait cette adrénaline qui montait, la peur qui se faisait de plus en plus présente, le doute.. Il alla donc a l'infirmerie, ésitan ta sortir son épée...

[Bureau du Sergent]

Elloras a écrit:: Après avoir passé dans le bureau du Lieutenant et ses camardes se mettre en place, Elloras courru dans le couloir cherchant le Sergent. En premier lieu, elle pensa directement à aller le voir dans son bureau. Arrivée devant la porte, elle prit une grande respiration et entra dans son bureau sans même prendre la peine de frapper.

Elle vit le sergent assoupit sur le bureau. Elle sourit, puis s'avança jusque vers lui. Elle tourna la tête vers l'entrée de la porte pour voir si quelqu'un arrivait. Personne. Elle hésita, allait-elle le réveillé en hurlant? ou très tendrement. Si elle se mettait à hurler, il ne serai pas de bonne humeur et n'avait finalement pas trop envie de le mettre de mauvaise humeur. Elle se pencha doucement sur lui et lui caressa tendrement la joue. Tout en lui murmurant à l'oreille.

Yvane, amour... réveille toi.

Le voyant se réveillé, elle recula un peu. Elle le laissa reprendre ses esprits, puis lui expliqua rapidement qu'un intrus se baladait dans la caserne et que le lieutenant avait ordonné que lui et elle, se mettent en groupe et se poster sur le terrain d'entraînement. Elle le regarda se lever d'un bond et le suivit hors de son bureau, épée à la ceinture.

Yvane a écrit:: Perdu dans ses songes, le sergent dormait à point fermé. Ses rêves se constituaient de flashs de la guerre, jonglant en total paradoxe avec certains détail de sa vie privé, des souvenirs de çi et de ça, d'ombre et de lumière.... enfin plus de l'ombre qu'autre chose.
Dans sa réalité actuel, une douce voix s'éleva dans ce rêve, agayant un peu l'univers glauque qu'il se batit durant sa vie.

Une douce chaleur, l'extirpait de ce songe. Il ouvrit les yeux et aperçut sa compagne. Un peu dans le paté, il ne reconnut pas le lieu de suite.
Mais reprit ses esprits vite. De plus les nouvelles que lui apportaient Elloras lui mirent les idées en place.

Rha!!!! Et dire que si je ne m'était pas assoupi... j'aurais peut être....

Rageant de cette erreur, il restait concentrer sur l'objectif et partit avec son binome en direction du terrain, selon les ordres rapportésd'Elloras.

[Dortoir]

Jeïna a écrit:: Jeïna pénétra dans le dortoir, à la recherche du brigand que tout le monde recherche dans la caserne...
Seule dans la pièce, elle commença à la fouiller... Les armoires, sous les lits... Rien...
Elle tendait l'oreille mais n'entendait rien...

Bon bin il doit être ailleurs...

Elle ressortit de la pièce, seule...

[La taverne]

Elloras a écrit:: Elloras arriva au mess, accompagnée d'Yvane. Ils venaient de passer sur le terrain d'entraînement. Pas de brigand en vue. Elle fit rapidement le tour de la pièce avec les yeux, pendant qu'Yvane se dirigea vers la cave. Elle tenait toujours la garde de son épée, réactive au moindre bruit, dos à la porte. Tom fit son entrée, elle en sursauta légèrement, se tournant vivement et sortant un peu son épée de son fourreau. Son coeur battait fort.

Ca va pas de me faire des frayeurs ainsi. Non mais!

Elle posa sa main de libre sur son coeur. Yvane ayant entendu sa compagne parler, sortit de la cave.

Tu as vu quelques chose? Lui demanda-t-elle.

Il lui fit un signe de la tête que non. Elle vit une ombre se diriger vers le dortoir, elle pointa du doigts.

Là!! J'ai vu une ombre aller vers le dortoir.

Thworn a écrit:: Tom alla voir dans la taverne si le brigand y etait, et en ouvrit la porte à la volée, esperant surprendre le brigand ... mais il n'y avait qu'Ello et le Sergent, qu'il avait effrayé.

Désolé, je pensait qu'il se terrait là ... enfin, si t'a peur en me voyant, esperons que le brigand soit plus beau ^^

Puis Tom se retourna et vit une ombre qui se dirigeait vers le bureau du Lieutenant

Il part vers le bureau du Lieutenant! Je vais le suivre!

Yvane a écrit:: Après avoir inspecter la cave, et revenant bredouille, Yvane fit un signe de tête négatif à Elloras, au même moment Tom arriva.
Le sergent sourit en les voyants sursautés légèrement.

Pendant que Thworn était persuadé de l'avir vu partir vers les bureaux, le sergent vit une ombre proche de l'armurie, vu ka distance il n'était pas sure que se soit ce brigand, surtout si quelqu'un d'autre l'aperçut ailleurs et moin loin.

Yvane réfléchit à ce qu'il faire. De manière sure il devrait se séparer d'Elloras pour couvrir plus de périmètre.

[Terrain d'entrainement]

Elloras a écrit:: Elloras sortit du bureau du sergent à la suite de ce dernier. Elle tenait fermement la garde de son épée. Elle posa sur son regard sur les moindres coins et recoins, cherchant cet intrus, étant à l'affut du moindre mouvements ou bruits suspects.

Yvane et Elloras arrivèrent d'un pas décidé et vif sur le terrain d'entraînement. Le coeur d'Elloras battait vite, mais elle se maîtrisait comme elle le pouvait. Peut être que la présence de son aimé l'aidait à rester calme. Quoi qu'il en était, tous deux étaient aux aguets. Les ordres étaient clairs: stoppé cet individu. Elloras se demanda d'ailleurs comment il avait pu passer le poste de garde.

Le binôme s'arrêta sur le terrain d'entraînement. Elloras tourna la tête, regardant autour d'elle, puis elle posa son regard sur Yvane, rapidement. Elle attendit ses ordres, ne lâchant pas la garde de son épée, prête à sortir de son fourreau si le besoin s'en faisait sentir.

[Bureau du Lieutenant]

Arthos. a écrit:: Après avoir quitté Bentich dans le salle d'entrainement, Arthos trouve judicieux d'aller vérifier le bureau du lieutenant... Après tout, c'est pas vraiment l'endroit dans lequel on penserait le plus à chercher, donc il est possible que le brigand en fuite s'y cache...
Sauf qu'il n'y a pas l'aire de s'y trouver grand chose...

Thworn a écrit:: Tom entra dans le bureau du Lieutenant pour verifier si le brogand n'y etait pas, mais il vit Arthos, qui avait deja fouillé les lieux

Alors, quelque chose de supect mon ami? ppffff il est invisible ce gars ou quoi?

Puis Tom lacha un soupir

Arthos. a écrit:: Alors qu'il reste un peu dans le bureau... L'air d'attendre que le brigand y vienne, c'est Thworn qui arrive à son tour...

Quelque chose de suspect... Rien... Pas l'ombre d'un poil de brigand ici...

Soudain, il lui semble entendre un bruit...

Tu as entendu?

Mais Thworn ne semble pas avoir fait attention... Et le barbu se sent un peu bète d'un coup...

Heu il m'a semblé avoir entendu quelque chose dans la pièce d'à côté... L'infirmerie...
Je crois que je vais aller y faire un tour...

Et il se dirige donc vers la porte pour se rendre à l'infirmerie...

Thworn a écrit:: Tom, apres le depart d'Arthos vit une ombre pres du mess et alla voir ce qu'il en etait

[Bureau du Sergent]

Bentich a écrit:: Ayant fini par arrriver dans le bureau du sergent, Ben s'attendais a croiser quelqu'un mais la encore le vide complet, pas ames qui vivent en c'est lieu, l'ordre qui y regnait etait exemplaire, et vu la grandeur de la piece, Ben n'eut aucune peine a en faire le tour

He bien, il est tres fort le bougre, ou alors il a disparu depuis belle lurette et je me demande de toute façon ce qu'il viendrait faire ici, a part se relaxer dans le beau fauteuil du sergent

Ben reinspecta les lieux avec conscience et professionnalisme

Bon il est pas ici, un belphegor ce bougre, l'art de la cachette et du cammouflage sont au point chez lui !!!!!

[Salle de garde]

Yvane a écrit:: Ayant délaissé son binôme, le sergent inspecta le poste de garde. De ce point il avait une vue assez dégager. IL scruta de part et d'autre, aussi bien le post que les environs, mais ni décela rien, jusque lorsque qu'il entendit de nouveau un bruit provenant de l'armurerie.Il regarda mieux s'en rien voir encore une fois.

Ce petit manège commençait à lui taper sérieusement sur les nerfs. Soudainement, un frisson lui brisa l'échine, un mauvais présentiment le fit trésaillir. Un cri lointain monta de plus bas dans la caserne. Son coeur ,e fit qu'un bond, ses yeux s'écarquillèrent.

Cela lui ressemblait fortement. Bien que mal à l'aise, il ne se précipita pas. Redoublant de vigilence, il continuait à chercher.

[Dortoir]

Elloras a écrit:: Elloras sortit de la taverne, se séparant d'Yvane qui partit dans une autre direction. Tenant fermement la garde de son épée, elle pousse la porte du dortoir violemment, voulant faire peur si le brigand se trouvait dans la pièce. Elle y entra et fit un tour rapidement des yeux. Son coeur battait fort, elle était aux aguets, prête à bondir s'il le fallait.

D'un coup, elle sentit une présence derrière elle, elle sortit rapidement son épée et se retourna vivement. Elle lança son épée, mais le brigand la stoppa de la sienne, comme s'il avait prévu le coup à l'avance. Il la poussa violemment, Elloras fit deux pas en arrière, manquant de tomber en arrière. Elle se mit en garde.

Toi!! Je te conseille de lacher ton épée et te rendre. Si c'est pas moi qui t'arrête, ce sera un autre.

Lui avait-elle ordonné. Elle lança un coup de taille sur la droite du brigand, faisant passer son bras devant elle et avançant d'un pas. Elle le toucha, il poussa un cri. Elle était assez proche de lui...

Brigand a écrit:: L'homme arriva les dortoirs, mais entendit des pas derriere lui, entra precipitement dedans, se cachant pres de la porte.

Cette derniere s'ouvrit à la volée, poussée par une jeune femme ravissante, mais armée ... Elle avança de quelques pas, puis scruta la piece ... Il en profita pour aller doucement derriere elle, en sortant son épée de son fourreau.

Mais elle se retourna violemment et lança son épée sur lui, qu'il devia de sa propre lame, pusi fit quelques pas rapide sur la jeune femme et la poussa de toute ses forces. Elle faillit tomber, mais se mit en position de combat et le defia.

Et ben, viens donc ma poule, essaie de m'arreter! Si tous les soldats sont comme toi ici, je veut bien me faire arreter

Puis elle attaqua si rapidement qu'il ne put que partiellement eviter l'attaque, et eut un eestafilade sur son bras gauche ; mais lacha son épée, et assenna un enorme cup avec son bras droit sur la nuque de son adversaire.

Elloras a écrit:: Il la narguait. Elle ricana. Elle lui toucha le bras gauche, ce qui lui fit lâcher son épée. Elle était assez fière d'elle, mais elle sentit d'un coup une vive douleur sur la nuque. Elle poussa un cri, sa tête commença à lui tourner, elle voyait des étoiles. Elle se laissa tomber sur les genoux et tenta de rester éveillée. Elle ne voulait pas s'évanouir, pas maintenant. Ses deux mains posées au sol, elle ferma et rouvrit rapidement les yeux tentant de faire passer se trouble. Elle entendit le brigand jubiler avant de quitter précipitemment la pièce.

N'y tenant plus, elle se laissa tomber sur le côté et perdit connaissance, allongée sur le côté.

Brigand a écrit:: Apres avoir assené son coup, la jeune femme recula, chancelante, puis tomber à genoux, puis s'effondrer.

Pfeu, ces femmes ; belles mais peu resistantes!

Puis il partit pour retrouver la sortie de cette caserne

[Taverne]

sir_hugo a écrit:: Hugo venait du bureau du sergent, et sa recherche avait était veine. IL se dirigeait donc vers la taverne de larmée. Non pas pour y boire un coup, mais parce que le lieu était proche du bureau du sergent (bisard hein?). Quand il sortit du bureau, il vit quelqu'uns de ses camarades qu'il reconnaissait à la démarche ou a un signe particulier qu'il connaissait chez eux. L'épée a la main, et la peur au ventre, il poussa lentement la porte de la taverne ( qu'il avait déjà poussé souvent.. ).

Tout d'abord, il n'entendit aucun bruit, aucun mouvement. Il scruta la pièce en essayant de débusquer le brigand. Il regarda un peu partout et et dit d'une voix forte et qui se voulait menaçante :

-Y'a quelqu'un??? Monterez-vous!!!

Juste après avoir dit cela, il entendit un bruit. Tout d'abord il ne savait pas d'où il venait, mais il réfléchit bien, et il lui semblait que ce bruit venait du dortoir. Ne soit pas bête Hugo, s'il était au dortoit maintenant, mon cris l'a alerté et il ne doit plus y être. Allons voir au poste de garde, pensa Hugo en faisant le tour de la pièce. Il avait donc tout vérifié, et il sortit donc de la taverne ( sans avoir bu un verre!!!) et se dirigea vers le poste de garde, toujours aussi méfiant, et l'épée dans sa main droite.

[Terrain d'entrainement]

Jeïna a écrit:: Jeïna sortit du dortoir en direction du terrain d'entrainement, lorsqu'elle crut discerner une ombre venant du dortoir... Mais elle en sortait, elle venait de vérifier, elle avait dû se tromper...

Arrivée au terrain d'entrainement, elle regarda, il pouvait être derrière chaque arbre... Elle n'entendit ni ne vit rien d'anormal.
Elle vérifia par sécurité... Non, rien de rien.

Elle retourna donc à l'intérieur de la caserne continuer ses recherches.

[Infirmerie]

Arthos. a écrit:: Arhos entre dans l'infirmerie après y avoir entendu du bruit, mais ça devait un chat, un rat ou une autre bestiole... Car c'est vide... Completement vide...

Mouais... J'ai dû réver sur ce coup-là...

Enfin par acquis de conscience, il fouille un peu, des fois que le brigand se soit vraiment bien caché...
Rien...
Ben s'il est là, c'est en petit morceau dans une armoire, entre remèdes de grand-mère et objets de torture les plus divers...

Et puisqu'il ne semble bien n'y avoir rien du tout ici, bah pourquoi y rester... Le barbu pointe donc son nez dehors, et là que voit-il??
Une ombre!! Aux alentours du poste de garde en plus... Pourvu que ce n'est pas le brigand, ou si c'est lui qu'il ne se cache pas dans ce coin-là depuis le début car Arthos se sentirait un peu bète de l'avoir raté...

Sauf que là, une ombre... Il s'agit de ne pas la rater!!!

[Salle de garde]

sir_hugo a écrit:: Sir_hugo, qui était donc au mess, et qui avait entendu un bruit provenant du dortoir, alla voir au poste de garde. Car le brigand semblait bougeait, jouer avec les nerfs des soldats. Il avait toujours l'épée sur lui, la peur au ventre, en éspérant tomber sur le brigand. Il poussa la porte doucement et vit Yvane, le sergent. Il le salua, il n'avait encore pas vu un soldat.

-Bonjour mon sergent, vous avez trouver quelque chose? Moi je n'ai rien trouvé...

Les deux hommes étaient face a face, mais Hugo se retourna, pour chercher un peu dans la pièce, regardant dans les moindres recoins. Il entendu plusieurs bruit, comme un lute entre deux hommes et il se retourna. Il vit le sergent allongé par terre, et il vit seulement le bras du brigand qui sautait par la fenêtre. Il fallait choisir entre le lieutenant inconscient et le brigand qui s'échappait. Il réfléchissa un instant, et laissa filer le brigand, un soldat est plus important. Il s'approcha du lieutenant, sonné, qui était allongé par terre. Il lui mit quelques gentil claques de sorte à le reveiller. Il repris conscience après quelques instants. Hugo était rassuré. Il le fit mettre demi-assis demi-couché contre le mur. Il alal chercher une gorde d'eau qui se trouvait au poste de garde et lui donna a boire.

Après avoir vu que le sergent allait un peu mieux, Hugo se dirigea vers la fenêtre pour voir vers où le brigand était allé. Malheureusement, il ne vit rien...Il est déjà loin, mince, quel âne je fais..., pensa Hugo, mécontent de lui. Il retourna auprès du sergent, l'aidant a se relever. Puis, après avoir attendu qu'il aille encore un peu mieux, il lui demanda.

-Mon sergent comment allez-vous? Raaa ce brigand m'énerve!!! Si seulement je l'avais vu, je lui aurais mis un bon coup d'épée qu'il s'en souviendrait bien!!! Vous l'avez reconnu?

Il ne voulait pas trop brusquer le sergent qui venait d'être sonné, mais il était énervé envers lui, car il n'avait pas sut combatre, il s'était bêtement retourné. il s'en voulait, maintenant, il voulait absolument tuer ce brigand, il avait la haine, la peur l'avait quitter. Son regard était remplis de haine lorsqu'il scrutait la fenêtre. Il se jura d'attraper ce fichus brigand!!

Yvane a écrit:: Yvane baissant un soupçon sa garde du fait de ne plus être seul, cherchait dans la pièce de nouveau. Lorsqu'un courant d'air lui effleura le lobe de l'oreille.
D'un mouvement vif il se décala en faisant volte face et se retrouva nez à nez avec sa proie. Un frisson esquit de satisfaction s'empara de lui. D'un mouvement totalement irréfléchit il se jète sur le mécréant poing en avant, de tout son poid.
Il se rendit bien vite compte de son erreur.

*Ne pas confondre vitesse et précipitation.....*

Se dit il, sachant éperdument que nul combattant aguerri ne louperait pareil occasion.
La douleur qu'il ressentit sur sa tête ne fit que confirmer sa pensée.
Le sergent tomba au sol, dans la continuité de son mouvement.
Il était sonné et le brigand avait déjà prit la poudre d'escampette.

La voix d'Hugo le ramena rapidement. Il se releva quelque peu titubant.

Oui ça va........ c'est rien... j'ai vu bien pire que ça....

Ne prenant même pas le temps de se retourner vers lui, le sergent se jeta par la fenêtre à sa poursuite.

Dans son élan il cria à Hugo.

Je vais au dortoir, y a un truc qui me chiffonne depuis tout à l'heure.

Le sergent s'était lancé à la poursuite de son assaillant, bien qu'il en ai perdula trace.

Brigand a écrit:: L'homme arriva en courant par derriere le Sergent de la caserne, mais ce dernier vit volte-face tres rapidement et se lanca sur lui avec un sourire etrange, en brandissant le poing ... L'homme ne reflechit pas, car son adversaire n'etait pas si rapide que ça, et balança son poing avec une forcve modérée contre la tempe de son agresseur, qui tomba et reste au sol, sonné.

Mais il entendit des bruits de pas approchant et il s'enfuit en courant à l'armurerie

[Bureau du Lieutenant]

Jeïna a écrit:: Jeïna arriva dans le bureau du lieutenant, où en fait elle n'était jamais allée avant... Elle croisa de loin Tom qui repartait. Apparement, il avait déjà fouillé la pièce, et Jeïna se demanda si c'était nécessaire de recommencer...

Elle vérifia vite fait si elle était seule... et, comme elle l'était, elle en profita... pour s'asseoir sur la chaise du lieutenant !!! Jamais elle ne pourrait recommencer, autant en profiter !!!
Installée à son bureau, elle s'imagina haut gradé, commandant les troupes de soldats...
Plutôt confortable ce fauteuil, dis donc !!!

Soudain, elle entendit un bruit, sursauta et se releva immédiatement.
Oups, non non j'étais pas assise dans votre fauteuil !!! dit-elle seule à voix haute.
Mais il n'y avait personne.
Ouf !!!

Quant au bruit, il provenait du poste de garde... Devait-elle aller voir ?
Bah, c'est un peu loin et tout le monde a dû s'y précipiter... Jvais plutôt aller à l'infirmerie.

Avec un dernier regard sur le fauteuil, Jeïna sortit du bureau du lieutenant...

[Dortoir]

Yvane a écrit:: Alors qu'il recherchait toujours son agresseur, le sergent se dirigeait vers le dortoir lorsqu'il perçut une voix annoncer la fin de la traque.
Yvane n'était pas satisfait de lui, d'une il échoua à la poursuite et de deux il se fit même assomer par une stupide erreur.

N'ayant plus rien à faire au dortoir, il aurait dû retourner auprés des autres (hrp: et oui, on m'a pas ditqu'Elloras était blessée....)
Mais son incompétence lors de cette mission lui laissait un gout amer, il préférait cuver sa déchéance loin du monde, et poursuivit sa route pour s'isoler au dortoir à défault du reste.

Il poussa la porte grinçante du dortoir qu'il pensait désert. Se dirigea vers le lit le plus éloigné et le plus baigné dans l'obscurité.
Dans un état pareil il était associable et désagréable. En arrivant au fond de la pièce, il découvrit avec stupeur le corps de sa compagne inconsciente.

Ell..... Amour!!!!! Eh! Amour!!!!

Prit d'un excès de panique, il se jeta à terre et tenta de la réanimer. Il commença par parler, même hurler à la limite, il lui mit de petites tapes sur les joues. Ne voyant que rien y faisait, il paniqua un ^peu et la secoua en lui hurlant dessus.

Après quelque seconde de secouage intense, la femme ouvrit les yeux en grimaçant.

Elloras a écrit:: Plongée dans l'inconscience, allongée sur le côtés, Elloras ne bougeait pas, sa respiration était calme et posée. Elle entendit quelques bruits autour d'elle, mais rien ne la sortit de sa léthargie. Ce n'est que les hurlements de son Tendre, les quelques tapes sur ses joues qui la réveilla. Elle ouvrit difficilement les yeux, grimaçant. Sa vue était encore trouble, mais elle pouvait juste apercevoir et sentir son aimé à côté d'elle. Elle tenta de se redresser, mais sa tête lui faisait si mal qu'elle lui arracha des gémissements.

Aaaoutttch.. ma tête.

Elle plaça une main à l'arrière de sa tête, près de sa nuque. Encore étourdie, elle arriva à se redresser un peu, posant sa tête affreusement lourde sur le torse du sergent. Elle tenta de se ressaisir et de se rappeller ce qu'il s'était passé. Elle entendit le coeur de son aimé battre à tout rompre dans sa poitrine. Il semblait effrayé, même paniqué.

Toi.. tu n'as rien?

Elle s'inquiètait plus du sort de son aimé que sa propre tête douloureuse.

Yvane a écrit:: Soulagé de la voir ouvrir les yeux, il réussi à restaurer une mineure partie de son calme.
Lorsqu'elle lui demanda si tout allait, il mit sa main sur sa tempe et acquissa.

Oui oui ça va...... enfin mieux maintenant.
Je t'emmène à l'infirmerie pour que tu t'y repose.

Se doutant qu'elle llui dirait, il anticipa même avant qu'elle ne prononce nul mot.

Et, t'as pas le choix.

Voyant qu'elle était réticente à cette idée, il ajouta.

C'est un ordre soldat!

Nul fier de son abus évident de pouvoir, il passa une main sous ses bras et l'autre derrière ses genoux, il la porta.
Une fois dehors, il entreprit de ce rendre à l'infirmerie. Cela faisait déjà un bout de temps que la chasse avait été interrompu.

En s'y rendant, il passèrent non loin de la taverne. Le sergent perçut les rires et sons des verres qui trinquèrent à ce qui devait être une victoire.

Il se mit à rager en lui. Tous faisaient la fête, et personne n'eut l'initiative d'aller voir si les absents se portaient bien.

Arthos. a écrit:: Arthos arrive en courant depuis l'infirmerie d'où il a crut voir une ombre... Alors qu'il approche du dortoir, il voit le sergent qui y entre aussi... S'il n'est pas le seul, il y a des chances pour qu'il y ait quelque chose, car Yvane semble aussi décidé que lui.

C'est donc tout juste après qu'il pénètre dans la pièce, il voit tout de suite Elloras au sol, et Yvane qui est déjà à ses côté en train d'essayer de la réveiller.

Pendant qu'elle se réveille, Arthos inspecte un peu la pièce... Rien... Il faut croire que si le brigand est passé par ici, il n'y est plus...
Il revient donc vers les autres soldats... Elloras ouvre les yeux...

Y'a plus personne ici...
Comment ça va?

[Armurerie]

sir_hugo a écrit:: Hugo venait du poste de garde, où le lieutenant venait de se faire assomer. Depuis, une grande haine était en lui, il serrait très fort son épée prêt a tuer a nimporte quel moment. Il entra dans l'armurie en poussant la porte. Il remarqua que beaucoup d'armes étaient là. Il remarqua qu'un épée avait était sortit de son présentoir. Son attention redoubla, regardant partout, avec un regard remplit de haine. Il entendit un bruit derrière lui, qui venait de derière la porte. le brigands avait du se cacher là quand Hugo était rentrer. Dans l'action, il se retourna, et vit le brigand donner un coup d'épée. Heureusement pour Hugo, il le para et riposta de suite. il donna un coup latérale et le bout de son épée trancha le ventre du brigand. Le sang coula tout de suite, du sang gicla un peu partout sur Hugo. L'épée du brigand tomba et Hugo baissa sa garde. Il dit au Brigand, qui saignait abondament et qui était a genou par terre:

-Alors? On fait moin le malin là hein? Tu as voulut t'en prendre au lieutenant, tu t'en prendra à la caserne entière! je te souhaite un bon séjour en pr.....

Hugo n'eut pas le temps de finir sa phrase, le brigand se releva d'un coup et mit un gros coup de poing, avec une force inéspéré. Hugo était un peu sonné et tomba en arrière et se frappa la tête au sol. Quand il se releva, au bout de quelques minutes, le brigand était partit, sûrment en titubant. Il ne pourra pas aller bien loin avec le trou qu'il a dans le ventre, pensa Hugo en se frottant la tête. Il vit des taches de sang, il y en avait beaucoup, il devait avoir perdu beaucoup de sang.. Il suiva les traces, elles se dirigeaient vers l'infirmerie. La rage au ventre et avec l'envie d'en finir avec se brigand, il entra en claquant la porte, l'épée taché de sang toujours devant lui...

Brigand a écrit:: L'homme entra dans l'armurerie dans le plus grand silence, et se dirigea vers un ratelier plein d'armes et posa son épée par terre, et prenant une neuve, plus legère. Puis tout d'un coup, il entendit la porte grincer sur ses gonds, et alla se cacher derriere la porte qui s'ouvrait.

Mais plus il attendait, plus il risquait d'etre decouvert. Il se decida donc et courut à la rencontre du soldat, mais ce dernier l'entendit et para le coup d'épée qu'il allait lui faire perdre quelques meches de cheveux, ainsi que la chose qui se trouvait derriere. Mais le soldat etait prompt à la réaction et porta un coup lateral qui lui fit une mechante entaille dans le ventre, et il lacha son épée à cause de la douleur insoutenable.

Il sourit lorsque son adversaire commenca à deblaterer sur son avenir en geôle, se reprit et lui assena un coup de poing magistral dans la machoire du soldat, qui s'effondra au sol, etourdi.

Il ne perdit pas une seconde et alla le plus vite possible que lui permettait son état à l'infirmerie

[Infirmerie]

Jeïna a écrit:: Jeïna revint dans son infirmerie... Depuis qu'elle l'avait aménagé, la pièce était plus accueillante, mais quand elle y entra, elle n'était pas rassurée pour autant...

Elle fouilla la pièce des yeux sans rien voir. Elle regarda derrière le bureau, sous la table où allonger les patients, rien...

Soudain, un bruit derrière elle, elle se retourne...

Brigand a écrit:: L'homme n'avait presque plus de force et arriva enfin à l'infirmerie, perdant son sang par giclées, il poussa la porte de l'infirmerie, laissant la trace de sa main, en rouge pourpre, et il tomba nez-à-nez avec une jeune femme fort charmante, mais elle aussi soldate ...

Il fit un sourire et dit Pitié! Je me suis fait attaquer par par un bandit, qui allait vers le dortoir, s'il-vous-plait, aidez-moi, jeperds mon sang!

Jeïna a écrit:: Jeïna se mit sur ses gardes, sa main sur le pommeau de son épée, quand l'homme qu'elle ne connaissait pas lui parla...
Il implorait son aide.
Quel dilemne... Faire son métier de soldate, c'est-à-dire le questionner d'abord, ou son métier d'infirmière, soigner cet homme en bien mauvais état ?
Une décision qu'elle prit rapidement...

Qui êtes-vous ? Comment vous êtes-vous fait cela ?

Elle restait sur ses gardes, réfléchissant néanmoins aux soins à donner, au cas où...

Brigand a écrit:: L'homme se retrouvait entre un choix grave, soit inventer une histoire, et elle verrait son hesitation si elle essayait d'approfondir son histoire, où l'attaquer et se soigner lui-même ... le choix ne se fit pas attendre, et il essaya de frapper la sodate, mais la louoa, et s'affala sur elle, essayant de se relever, glissant avec ses mains poisseuses de sang.

Jeïna a écrit:: Jeïna le vit soudain bondir sur elle. Sur ses gardes, elle esquiva son coup et commença à sortir son épée quand il s'affala sur elle et tous deux tombèrent au sol.
Elle ne devait pas hésiter... Elle donna un coup de poing sur sa blessure ouverte. Le sang recouvrit ses mains et le brigand, plié en deux, tomba au sol. Elle se releva, sortit son épée et le frappa à la tête avec le pommeau pour l'assomer.

Brigand a écrit:: l'homme tentait toujours de se relever lorsque la soldate lui assena un coup dans sa blessure et il fut tout etourdi et refrenna un cri de douleur. Mais son adversaire arriva à se relever et lui assena un coup avec la crosse de son épée, et tout l'univers sombra dans un abime de tenebres ...

Jeïna a écrit:: Le brigand s'effondra au sol sans connaissances. Jeïna vérifia qu'il était bien inconscient et le retourna pour examiner sa blessure. Elle lui attacha les deux mains, puis attrapa un bandage. Cette entaille était nette, un peu profonde mais pas vraiment dangereuse. Elle nettoya la plaie à l'alcool (ce qui le fit à peine grimacer, elle avait dû taper un peu fort) puis elle le pansa.
A quoi aurait servi un prisonnier mort ? Une chance pour lui d'être tombé sur l'infirmière ^^
Elle se releva, et lui attacha les mains dans le dos en faisant attention à sa blessure, puis se dirigea vers la porte tout en le surveillant du regard :

Ohé, les gens ? Je l'ai eu !!! Je suis à l'infimerie, venez m'aider à le transporter !!!

Puis elle s'agenouilla près de sa prise, solidement attachée et toujours inconsciente.
Elle était fière de l'avoir eu, un sourire sur les lèvres, elle se dit que finalement, elle le méritera ptet un jour, le fauteuil du lieutenant
Elle alla se laver les mains, qui étaient pleines de sang, et attendit que les autres arrivent pour l'aider à le porter dans les geôles.

sir_hugo a écrit:: Hugo arriva en courant aussi vite qu'il put. Il suivait les traces de sang. La porte était déjà ouverte et il vit Jeïna qui était là et qui apellait à l'aide. Elle était couverte de sang mais elle avait un petit sourire, ce qui annonçait qu'elle avait eut le brigand. Il rangea son épée après l'avoir essuyé de son sang dans sa chemise. Le brigand était alongé par terre, ligoté et inconscient. Tout finissait bien. Il s'aprocha d'elle et lui demanda:

-Jeïna!! Comment tu vas? Il t'as bléssée? Bravo!! Tu l'as eu!!

Il lui souria et se frotta la tête. Il avait une bosse derrière la tête mais il n'avait plus très mal. Il attendai tque les auters soldats viennent pour fêter la capture du brigand.

Elloras a écrit:: Au dortoir

Elloras reprit un peu ses esprits et leva la tête vers lui pour le regarder. Yvane porta une main à sa tempe, mais lui certifia que tout allait bien. Elle lui sourit tendrement, puis fronça les sourcils. Il voulait l'amener à l'infirmerie pour qu'elle s'y repose. Elle allait pour lui répondre et lui dire que ça irait, mais il était plus tétu qu'elle sur ce coup là.

Eeuh.. mais...

Il lui sortit du "c'est un ordre soldat". Elloras ne put évidemment pas aller contre. Elle lui sourit, se disant que cette fois il avait gagné. Elle lui répondit alors.

A vos ordres mon Sergent!!

Elle trouva la situation un peu bizarre, mais ne put s'empêcher d'en sourire. Elle regarda Arthos, ses sourcils léger et lui dit que ça allait et le remercia de son inquiètude. Elle passa ensuite ses bras autour du cou de son aimé, se laissant porter. Elle grimaça sous sa tête qui lui faisait souffrir. Ils sortirent du dortoir et passèrent devant le mess, Elloras sentit son aimé rager de l'intérieur. Elle n'osa pas demandé le pourquoi, bien qu'elle s'en doutait un peu.

A l'infirmerie

Elloras poussa la porte de l'infirmerie, qui était à présent vide. Ils étaient tous entrain de fêter leur victoire. Elle sentit une pointe de déception l'envahir. Elle aurait pu rester longtemps inconsciente si Yvane n'avait pas eu la présence d'esprit de passer au dortoir. Elle ne put s'empêcher de lâcher en murmurant.

Hum!! Heureusement que je n'ai qu'une bosse!!

Elle poussa un léger soupire, restant blottie dans les bras du sergent

Yvane a écrit:: Yvane la déposa sur un lit. Il fit mine de l'osculter (....j'ai pas dit jouer au docteur....), il n'y avait pas de sang juste un belle bosse. Le sergent alla fouiller dans l'armoire et y trouva un mélange d'herbes pour atténuer la douleur.

Une fois le mélange pret à l'emploi, il l'appliqua avec délicatesse sur la tête. Il la regarda, content de voir qu'elle allait bien. Il ne pouvait réprimer ce sentiment de déception.

C'était bien la première fois qu'il avait un déploré un tel comportement.
Il se tourna vers Elloras.

Euh.. Je reviens, reste là.... une affaire à régler....

Il partit tête baisser, les nerfs bien attaqués, décidé à montrer son mécontentement.

Elloras a écrit:: Elloras s'installa sur un lit, elle resta un moment assise pendant qu'il regardait derrière sa tête. Elle semblait avoir juste une belle bosse. Elle l'observa se diriger vers les armoires. Elle sentit qu'il était énervé, déçu. Elle commençait à bien le connaître et finalement n'était pas mécontente d'avoir sa place. Le connaissant, il ne laisserait sûrement pas passer ce comportement. Le silence était pesant, mais elle ne souhaitait pas le rompre, de peur d'en prendre pour son grade gratuitement.

Elle baissa la tête, quand il vint appliquer la pommade. Elle grimaça un peu, bien qu'il était très doux avec elle. Il la regarda ensuite, elle lui adressa un tendre sourire, voulant lui ôté toute inquiétude. Il lui rangea ce qu'il avait sortit, Elloras s'allongea un moment, sa tête lui tournait un peu. Il s'approcha d'elle, puis lui dit de ne pas bouger, qu'il revenait et qu'il avait une affaire à régler.

D'accord, oui. Je ne bouge pas.

Elle le regarda partir, d'un pas vif et la tête baisser. Le voyant de dos, elle ne pouvait que s'imaginer son regard qui devait être dur, froid, rageur même. Elle posa ses deux mains son ventre, fixant le plafond et tenta de se reposer peu.