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Forum d'archives de la ville du Puy du jeu Les Royaumes Renaissants
 
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 Election de miss et mister 1458....

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bouzimir
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MessageSujet: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 1:45

Voici le message d introducition du concours de miss et mister...



Citation :
Bouzi arriva devant le vieux relais...

cet endroit qui servait aux voyageurs pour changer de cheval et se reposer fut jadis transformé en lieu de fetes et de jeux...

elle poussa la porte et fut heureuse de découvrir que mise à part de la poussiere, il n y avait point de poutres cassées...

Elle décida de profiter de la venue de LAurine. dans le village pour organiser un petit jeu...simple mais efficace avec lequel on pourrait rire...

mais que faire ?

un bal ??? non Laurine ne viendrait pas à ce genre de trucs....
concours de baton ? humm pas mal... mais les anciens tels que Pachi vont faire mordre la poussiere aux jeunots...
de la joute verbale ? arfff TEssay n a pas encore ramolli sa cervelle suffisament dans la biere...il va faire fuir le poete....
je sais !! un concours de miss et mister...mais la beauté c est un don que dame nature ne donne qu a quelques gens tels que ....moi ...
non, on va ajouter une petite touche... amusante....

voila c est décidé !!!

Bouzi accrocha une jolie parcarte de bois sur le devant de la batisse, et elle y déroula un parchemin sur lequel on pouvait lire...

Citation:
"ponots et ponotes !


Afin de profiter de notre bon vieux relais,
Je vous propose d'organiser un petit concours au rabais...
Point de noblesse de force ou d'intelligence
Tous et toutes pourront montrer leur suffisance !!"

Ce concours est assez simple et se déroulera sur trois jours...

- un pour l inscription
- un pour les présentations de chacun
- un pour voter...

mais que je suis bete...je ne vous ai point parlé du plus important...de quel concours peut il bien etre question ???

et bien une petite ecletion de miss et misters !!

mais pas comme dans le passé ou chacun venait sur un tronc bien habillé et parfumé...non non non !!!!!

je vous propose à chacun et chacune de nous dévoiler un de vos talents en plus de votre silhouette !

Danse, pêche, poésie , maniement du bâton , beau parleur ou belle garce....à vous de venir nous éblouir , point de limite tout vous est permit !

Inscriptions en ce lieu à partir de lundi !!!
venez nombreux....


puis elle s'en retourna dans le relais pour le nettoyer


voici la liste des participants....

Artistes du Puy :

Artistes du Puy :

messires :

Messire Tessay
Messire Richart
Messire Jeanastier
Messire Shankabangbang
Messire Millschakeur
Messire Gigagil

Mesdames :

Dame Eithne
Dame Valendra
Damoizelle Hatchep
Damoizelle Antigonee


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bouzimir
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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 1:50

[b]Voici les présentations de chaques candidats...

Election de miss et mister 1458.... Richart
la technique de drague de Richart...


Richart a écrit:
La longue cape rouge trainait sans interet sur le sol alors que le jeune homme avançait vers la scène. Sa démarche était rapide et éléguante…La démarche de quelqu’un qui avance sur de lui…ou du moins essaye de donner cette impression. Il avait reçu le matin même de la part de Hatchep le déguisement qui lui permettrait d’incarner à la perfection le role de ce soir.
Il gardait la tête sous un chapeau allongé qui ne tenait que par ses oreilles. Ce chapeau, de couleur rougeatre, se prolongeait une pique sur le devant de son front. De loin, l’on aurait pu penser avoir affaire à un quelquonque comploteur qui désirait passer inaperçu.

En effet, enveloppé dans une large cape couleur rubis qui prenait l’obscurité dans ses moindres plis, notre jeune ponot s’avançait, la tête abaissé contre sa poitrine. Il avait rabatu la cape autour de son corps, de telle façon que l’on n’aurait pas pu apercevoir la moindre parcelle de son corps. Seul un pantalon d’un noir profond venait completer ce déguisement d’infortune. Ce mélange de couleures obscures et insondables donnait au personnage une allure de mystèrieuse volupté…A la foix attrayant et repoussant…Mystérieux et dangereux…

Une seule chose donnait un peu de couleur au personnage. Ses pieds…nus.
En effet, le sieur n’avait point jugé utile de s’encombrer de chausses. Choix pour le moins bizare lorsque l’on savait que la piste n’était pas dénuée de cailloux.
Il soulevait de la poussière a chaque de ses pas. Il était prêt…le spectacle allait bientôt commencer.

Le noir…..le silence….la tension monte… quelques gorges se raclent…


entrée…

Le jeune homme attendit d’être arrivé au milieu de la scène pour brusquement se tourner face au public. La démarche avait été souple, fluide,… et la cape avait suivit le mouvement, tourbillonant dans l’air, n’émetant qu’un faible bruissement du tissu fendant le vent.

Les jambes écartées, la tete rabaissé, il calmait sa respiration du mieux qu’il pouvait. C’était un point éssentiel pour ne pas perdre le nord. Il sentait son cœur battre lentement contre sa poitrine.


*C’est bien mon vieux.. continue comme ca…ne lache pas…Tu peux le faire.. Nonditdju*

Sentant son corps s’abaiser, le noueau ponot releva doucement sa tête. Au fur et a mesure, les spectateurs purent apercevoir un petit sourire en coin qui s’affichait sur son visage. Il gardait néanmoins la mine sévère et mystérieuse. À nouveau ce mélange pour le moins….spécial. Un mélange qui servait peut etre à réunir le Richart intérieur et le Richart extérieur.

Il laissa pendant quelques minutes son regard parcourir l’assemblée. Il passait chaque personne présente en revue, la sondant avec un mélange de froideur, de curiosité et d’exitation. Son sourire mesquin ne le quittant pas, cela laissait au public le temps de se poser des questions.

Il commenca doucement à lever les bras, les écartant comme s’il voulait saluer le soleil.

Avant d’aller plus loin, il serait bon de préciser quelques reperes climatologiques. Richart avait attendu l’instant prospice entre le couché du soleil et le lever de la lune, de sorte que les deux se trouvaient visibles, dans une douce et chaude chaleur hivernale.

Le visage et le corps tourné vers le soleil rougeoyant, il tend les bras et prend doucement la parole.


« Bonsoir à vous, Seigneur et Damoizelle qui ordonnez notre monde de manière si brillante !
En fait si je m’adresse à vous ce soir…. C’est parce que j’ai une requete à vous soumettre… »


Le jeune homme placa les bras le long de son corps et fit parcourir sur l’assistance un regard qui appelait à l’aide, un regard chargé de langueur et dans lequel l’on pouvait voir la profondeur d’une ame qui avait tout a donner.

Un regard qui était une caresse…une caresse qui vous touchait au fond du cœur…


« Voyer vous.. »

Se mord les lèvres de manière génée.

« Il fut un temps ou l’homme que vous voyez s’adresser à vous n’aurait jamais entreprit une action pareille…C’était un homme simple mais solitaire, plutot calme et l’idée de se lancer devant une foule rassemblée l’effrayait au plus haut point. »

Le jeune homme entrouvrit les levres, laissant échapper un petit sourire qui lissait penser qu’en disant cela il avait le cœur juste au bord des yeux….le regard perdu, oublié dans une époque qui n’était plus…

Nostalgie…


« Mais ce soir ! »

Sa reprise fut foudroyante, ses regrets furent transformés en une foi innébranlables qui resplendissait au fond de ses prunelles. Il était la pour grandir….ou du moins…faire plaisir.

« Oui !...Ce soir le jeune homme a décidé de vous offrir quelque chose ! Oui.. quelque chose »

A nouveau son regard se perdit dans le lointain, souvenir….souvernirs …

« Une chose qu’il est le seul a pouvoir offrir… alors aujourd’hui…point de grandes paroles et de beaux mots…simplement une histoire….SON histoire qu’il va vous livrer en vous ouvrant son cœur… »

A ces mots, le voici qui réajuste son chapeau et affiche un large sourire a la compagnie

« Me voici ! Richart, simple et honnete citoyen du Puy, et voici mon histoire…. »




À ce moment précis, un cheval sur lequel était monté un jeune garçon fit son apparition sur la scène et se mit au galop en fonçant droit sur Richart. Le jeune homme,soudain prit de panique, voulu reculer mais s’emberlificota les pieds et sentit son crops partir lentement en arrière.
Comme dans un rêve, le jeune ponot agita les bras en tentant d’accrocher une chose invisible qui pourrait l’empecher de tomber, mais rien , exeté le cheval passant en trombe ne lui vint au secours et le voici qui plongeait vers le sol sans pouvoir y changer quelque chose. Dans ses yeux, l’on pouvait maintenant lire un mélange d’effroit amusé.

Il se réseptionna lourdement sur le sol, les fesses en premier tandis qu’un vieux paysan, la fourche a la main, poursuivait le galopin à cheval qui tenait encore à la main les quelques écus que Richart lui avait donné le matin même.

« Au Voleur ! Au voleur ! Crénonditju si j’latrappe cui-la , il va passer un d’ces maûvaix quart’deure ! »

Et Voici le vieux, clopint clopant qui s’encourait pour récupérer son cheval.



Pour Richart, la situation n’était point génante. Il était tombé tellement de fois au cour de sa vie que c’était presque comme une sorte de seconde nature.mais la, tout d’un coup, le voici qui se sentait vraiment comme étant « présent ». il se sentait lui… ;et allait le montrer.
Il se releva tant bien que mal, se remetant sur pied , tout en enlevant la cape qui lui couvrait le corps.

Les dames purent alors prendre leurs aises et observer la poitrine qui leur était dévoilée. Loin de jouer dans les canons de la beauté de l’époque, Richart n’en possédait pas moins un corps bien membré , qu’il avait endurci par le travail quotidien ainsi que sa retraite bucolique. Il leva les bras en avant et s’adressa aux citoyens du Puy présent devant lui.

« Hum…il semblerait que mon ptit pote la haut ne veuille pas que je vous raconte tranquillement mon histoire…Mouai »

Le jeune homme prit une mine songieuse, laissant à nouveau son regard parcourir l’assistance…

« Arf, nonditju ! Mais qu’est ce que je vais bien pouvoir faire….. Grrrrr…… Non mais !!!! zallez pas bientôt arreter de me dévisager comme ca ? Que voulez vous que j’y fasse ….
C’est pas moi qui l’ai voulu…. Bon va falloir que je trouve autre chose…. »

Il fixa l’assistance sans retenue.Et soudain son visage s’illumina !

« Hoho ! Je pense bien avoir ma petite idée…Ma foi…. »

Son visage s’orna d’un magnifique sourire et le voilà qui commenca à scruter chaque personnage féminin de l’assistance. Finalement il s’attarda sur une jeune adolescente qui faisait place au premier rang. C’était bien une jeune fille tout juste sortie de l’enfance pour qui le monde avait encore un semblant de grandeur et de bonheur enfantin.
Elle rougit brusquement lorsque Richart lui demanda de venir la rejoindre sur « scène ».

« Bonsoir Gente demoiselle, Je vous en prie, approchez, je ne vais point vous mordre… »

Il lui adressa un clin d’oeil et se fendit d’une simple révérence, domaine dans lequel il était devenu maitre de par ses exercices.
D’un autre regard il apostropha la foule !

« Vous vous demandez sans doute ce qu’un homme tel que moi peut faire d’une demoiselle aussi charmante ? …. Beaucoup de chose sans doute »

Il prit un sourire musquin et attira la belle par la taille pour la placer à ses cotés.

« tatata ! je vous vois déjà venir mesdames ! Point de galipettes pour ma part enfin…. Si.. en quelque sorte…. »

Il se tourne vers la jeune fille

« Quel est ton nom, beauté ? »

Elle rougit encore plus et répondit d’une voix faible

« Anabelle ! »

Il prit un air triomphal et la décigna à l’assemblé.

« Et bien Anabelle ici présente va avoir le privilège de m’aider à vous montrer tout l’art d’une chute réussie ! »


Bon, voyons…. MMMMmmm…Nous sommes dans une auberge…..pourquoi une auberge me drez-vous ?...Ben j’sais pas moi le hasard ! ( sourire en coin pour accompagner ces paroles)….

Donc nous sommes dans une taverne et vous voici, chère demoiselle, en face de l’homme le plus beau que vous avez jamais vu….Oui.. qui sait, vous pourriez me rencontrer en taverne… (rit betement car , il n’y a rien a faire la blague était bete) »

Regarde le public !

« Ben quoi ? Vous avez mieux à proposer ? Non mais….Pour qui ils se prennent ceux la ! »

Puis le voilà qui part dans un éclat de rire qu’il mit quelques minutes a calmer.

« Donc vous me rencontrez en taverne et vous voulez attirer mon attention…. Quoi de plus logique en soi…. Qu’allez vous faire ? Vous ne devinez pas ? Oui…C’est ca….Vous aller, grace à mes cours, tomber de la plus belle manière qu’il soit….
Bon je vais vous demander de vous immaginer la situation dans votre tête. Surtout concentrez vous…. Vous le voyez ?..... parfait maintenant vous vous immaginez tomber, ou plutot flotter…Il faut le faire avec légèreté….voila !

Vous sentez votre corps qui vous tire vers l’arrière et vous essayer de vous faire la plus attirante possible…voilà…. »

Il la regardait faire….prete à la réceptionner.
Elle était completement emportée. Son corps, svelte, était entrainé dans une chute gracieuse et d’une rare beauté qui suffit a couper le souffle à Richart. Elle s’envolait literralement sur un cousin d’air et ne semblait devoir jamais toucher le sol. Elle est telle une feuille qui, sentant venir l’automne, s’en va doucement dans le vent tourbillonant.
Lentement, elle tomba dans les bras de Richart qui la réceptionna avec douceur. Il la remit debout et apostropha la foule !

« Je propose que l’on applaudisse une des plus belles chutes qu’il m’ai été donné de voir… C’était magnifique ! »

Il aida anabelle a se rassoir et termina sa présentation.

« Voilà, en espérant que vous ayez compris quelle qualité de moi même je vous présentais ici… je laisse ma place au suivant…Ou a la suivante en espérant que vous avez passé du bon temps !

Citoyens du Puy ! Je vous salue bien bas »

Il s’inclina profondément et sortit précipitement de la piste, manquant presque de trébucher sur une pierre au passage.


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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:08

Election de miss et mister 1458.... Hatchep
La danse d'Hatchep...

Hatchep a écrit:
Hatchep avait attendu la fin de la prestation de Richart pour se lancer à son tour.

Elle tremble mais ferme les yeux pour se donner du courage. Puis elle s"avance lentement vers la scène.

Elle porte une houppelande car elle ne veut pas dévoiler son costume trop tôt. Et l'on peut voir ses pieds nus.

Ses yeux noisettes aux reflets d'émeraude balayent la salle mais elle est trop nerveuse pour reconnaître qui que ce soit.


Si seulement je pouvais me transformer en statue, là tout de suite !!

Rien qu'à cette idée son sourire qui ne la quitte d'ordinaire jamais refit son apparition.

Puis elle fut la première surprise d'entendre sa voix.


Je suis Hatchep,

elle fit une révérence

Habituellement je suis une personne avec beaucoup d'imagination.

Mais j'ai fait appel à la mémoire d'un homme qui, il y a fort longtemps, partit d'Orient pour échapper à la mort.
Et cet homme était mon ancètre.
Aussi ce soir je vais vous emmener dans ce pays lointain et vous offrir un moment "pharaonique".


Hatchep fit signe au troubadour de prendre place et elle partit derrière le rideau.

Hatchep a écrit:
Lorsque le troubadour commença à jouer le rideau tomba.

Hatchep est assise sur un coussin doré.
Elle est vêtue d'un petit haut rouge, d'une jupe étroite fendue et des anneaux en métal doré parent ses chevilles.
Enduite d'huile d'ani sur tout le corps, avec son parfum de jasmin et sa peau en or, elle brille comme les étoiles.

Elle avance ses pieds nus, se lève et tend le léger voile rouge devant son visage et seul son regard aux éclats d'émeraude est visible.

Elle exécute des mouvements rapides des hanches et de l'abdomen. Ses bras et ses mains ondulent en faisant virevolter le voile avec légèreté.

Elle se dirige vers l'assistance et tourne autour des tables.

Sa tête dodeline au rythme du tambourin arrosant les spectateurs de son sourire.

Elle retourne vers la scène en accélérant les ondulations de ses hanches laissant son voile frôlé les gens au passage.

De nouveau au centre de la scène elle reprend rapidement sa place sur le coussin à la denière note de musique donnée par le troubadour.

Elle relève la tête et salue par un clin d'oeil


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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:11

Election de miss et mister 1458.... Jeanastier
Jean est son hiostoire romantique....

Jeanastier a écrit:
Jean était venu assez tôt aux représentations, car il ne voulait rater aucun des spectacles, et aussi pour tâter le terrain. Il était un peu angoissé, car il se disait bien qu'à un moment ou un autre, il lui faudrait bien se jeter à l'eau.

Il avait été très amusé de la prestation de Richart, car lui-même avait souvent chu dans des tavernes... Quel comédien c'était ! Lui il ne se permettrait pas tant de fantaisie !

Puis, Hatchep (dont il venait du coup de comprendre l'origine de son nom) l'avait envouté par sa danse ! Elle qui semblait si discrète, si réservée, elle savait se laisser aller dans une danse pour le moins étonnante. Jean était davantage accoutumé aux danses traditionnelles de l'Auvergne ou du Languedoc... Cette danse orientale était vraiment différente, et il savait qu'il ne regarderait plus cette demoiselle de la même façon... Mais voilà que son tour arrivait ! Il se leva calmement, marcha lentement vers la scène. Son habit était le même que tous les jours, encore trop pauvre pour se permettre des folies, mais il était sûr de ses sentiments et c'était ça qui comptait le plus. Il tournait le dos au public, les mains posées sur ses cuisses. Il inspira un grand coup puis se retourna tranquillement.


Damoiselles et damoiseaux, amis et tous les autres ! C'est pour moi une sacrée épreuve de me produire céans devant vous ce soir, car je vais dévoiler une part de moi-même. Une histoire d'amour qui a mal finie...

Ceci s'est passé bien avant que j'arrive ici au Puy, alors que j'étais plus jeune de quelques années. Certains ne le savent peut-être pas encore, mais c'est un prêtre qui m'a élevé, ma mère m'ayant abandonné à ma naissance. Ce prêtre s'est très bien occupé de moi, il m'a appris beaucoup de choses, de valeurs, il nourrissait le secret espoir qu'un jour je devinsse prêtre à mon tour. Mais moi, je ne voulais pas ! Voici pourquoi...[/i]

Jeanastier a écrit:
Alors que je balayais les pavés de l'église où officiait mon père adoptif, et que tout était calme, j'entendis la porte s'entrouvrir et un rai de lumière se faufila jusqu'à mes pieds. Je levai la tête et je crus voir un ange ! Une jeune femme se tenait dans l'embrasure, hésitant à entrer davantage. Je me sentais à ce moment très bête, je ne savais que faire, je serrais mon balai contre moi, tout en ne parvenant pas à écarter mes yeux de cette femme !

Elle se décida quand-même à entrer, ainsi, je la vis mieux. Elle était à peu près de ma taille, de longs cheveux bruns, des yeux gris-verts assez peu communs, un visage un peu poupin et charmant, et un léger sourire illuminait son visage. Elle portait une robe bleue foncée assez ample, mais pas trop, ce qui permettait de deviner les courbes de son corps. Elle s'avança jusqu'à moi puis me demanda:


" Dois-je repasser plus tard pour que vous puissiez finir votre ouvrage ?
- Bien sûr que non ! Je vais vous laisser tranquille, ce n'est pas à moi de vous chasser !
- D'accord. Mais ne partez pas, je vais être impressionnée toute seule dans cette église, sinon.
- Comme vous voudrez."

La jeune femme alla s'assoir sur un des bancs et pria. Je m'efforçai de continuer à balayer et de ne pas prêter attention à elle, mais c'était trop dur ! Quel charme, quelle beauté, quelle élégance ! J'avais un peu honte de penser ça dans la maison du Seigneur, mais c'était plus fort que moi.

Peu après, elle se releva, et m'adressa de nouveau la parole, à ma grande surprise:

" C'est bien vous que l'on appelle Jean de l'Astier ?
J'hésitais à répondre, car ce sobriquet était utilisé par les gens en général, et bien peu m'estimaient. Mais le regard de cette femme était différent.
- Exact, c'est moi. Et vous, gente dame, puis-je vous demander votre nom ?
- Hélix Longueserre, fille de Guillaume Longueserre, propriétaire du domaine du Mazet de l'Ase.
- Oh ! Je vois ! Vous êtes d'ici, pourtant je ne vous avais jamais vue auparavant.
- Je ne suis pas née dans cette paroisse, mais bien loin d'ici, en Bretagne...
- En Bretagne ? Au Nord-Ouest ?
- Vous connaissez ?

- Oui, père Pierre m'a fait l'école pendant plusieurs années, et j'étais très intéressé par la géographie.
- Alors, ce qu'on m'a dit sur vous est vrai ?
- Quoi donc ?
- Vous êtes cultivé, vous aimez lire, apprendre ?
- oh oui, madame ! Hélas, je connais tous les livres d'ici par coeur, l'église n'est pas très riche...

- Aimeriez-vous découvrir d'autres livres, sire Jean ?
- Bien sûr, mais comment ? Je n'ai pas d'argent...
- Pas besoin. Mon père a une grande collection d'ouvrages, je pourrai vous les prêter !
- Il sera d'accord ? Je veux dire, la plupart des gens me méprisent ici !
- Il n'en saura rien ! Connaissez-vous la cascade du rocher fendu, à une demi-lieue d'ici ?
- Oui, je vois où c'est.
- J'y vais souvent le samedi soir y lire. Retrouvez-moi z'y ce samedi ?
- D'accord. Avec plaisir !" Et elle repartit.


J'avais l'impression d'avoir rêvé. Mais le samedi suivant, je suis allé à la cascade, et elle était là, plus charmante que l'autre jour. Elle me fit signe et je m'assis auprès d'elle. Elle me tendit un livre, un recueil de poèmes en prose de troubadours. Elle me demanda d'en choisir un et de le lui déclamer. Je n'avais jamais fait cela, mais je m'exécutais, trop content d'être avec elle.
Enfin, j'en trouvai un approprié à la situation:


"Par une froide journée d'hiver
une journée glaciale mais ensoleillée
un laboureur au cœur aussi froid que l'air
contemplait les sillons qu'il venait de tracer

Bon travail il avait fait
Mais point heureux il n'était
Car de chaleur son cœur manquait
Chaleur qu'aucun feu ne pouvait apporter

Mais en rentrant à sa ferme
Il rencontra un jeune femme
De haillons et de sabots vêtue
Une pauvre fille qui semblait perdue


L'homme remarqua le profond chagrin
De cette enfant de Dieu esseulée
Il l'invita dans sa grande bonté
A venir partager son âtre et son pain

Les journées passèrent, et jamais plus
La jeune femme ne reprit la route
Ces deux âmes en peine s'étaient trouvées
Et ensemble elles voulaient rester

Hélas des guerriers venus d'une contrée
Du Royaume de France fort éloignée
Vinrent piller et saccager la région
Ils étaient sans amour, sans foi, sans religion


Ces derniers attaquèrent la ferme du laboureur
Ycelui défendit ardemment sa terre et son foyer
Mu par son amour qu'il fallait à tout prix protéger
Hélas, pris en embuscade par ses assaillants, il en meurt

Les barbares ne laissèrent que des ruines et du chagrin
La jeune femme avait réussi à se cacher dans les bois
Mais son amour était mort et la voilà repartie sur les chemins
Emportant en son sein une promesse de lendemain

Une nouvelle vie se fabriquait chaque jour
Dans son ventre qui s'arrondissait, cadeau divin
Le gentil laboureur aurait ainsi une descendance
Un solide gaillard né de l'union de deux âmes solitaires..."


Je relevai la tête, et je vis Hélix qui pleurait. Elle me regardait avec des yeux emplis d'amour, visiblement je l'avais touchée en plein cœur.
C'est ainsi que nous nous revîmes plusieurs fois pour partager ces lectures, échangeant même un baiser lors de notre dernière rencontre, chose que je n'oublierai jamais.

Car malheureusement les gens apprirent nos petites réunions secrètes, et le sieur Guillaume Longueserre rentra dans une folle colère à mon encontre et celle de sa fille. Je fus menacé et sommé de quitter le village, j'étais seul, car mon père adoptif venait de rejoindre le Seigneur. J'ai tenté de revoir Hélix une dernière fois, mais je fus violemment chassé. J'appris plus tard que la douce et belle Hélix fut enfermée dans un couvent pour devenir soeur, comme sanction de sa conduite déplacée... Je m'en voulais terriblement, je pensais que c'était ma faute.
Je quittai donc mon village, errant des jours et des jours sur les routes, pleurant souvent. Et c'est alors que j'arrivai au Puy. L'on m'y fit bon accueil, et je décidai d'y rester.

Merci à vous tous pour votre accueil, votre écoute et votre intérêt envers mon récit. Maintenant je laisse la place à un autre !


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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:15

Election de miss et mister 1458.... Antigone
le chant mélodieux d'Antigonée...

Antigonee a écrit:
Suite au douce paroles de Jean, Antigonee ne fut que plus nostalgique ce qui convenait fort bien à la situation. Elle avait écouté attentivement, les unes après les autres, chacune des paroles étalées en cette même taverne, en ce même soir. D'abord Richart, toujours le même, toujours admirablement talentueux et apaisant. Puis la douce Hatchep qui n'aurait pu trouver meilleur numéro. Ils avaient tous été époustouflant. Antigonee se sentit soudainement plus frêle encore que d'ordinaire. Elle crut ne plus tenir sur ses jambes, elle crut tomber. Et elle aurait aimer, se défiler en cette douce soirée qui s'offrait à elle. Antigonee avait peur, Antigonee doutait. Quel engagement avait elle? Une parole, un sourire, c'était hélas trop pour reculer maintenant.
Comme prise d'une démence qu'elle même ne connaissait pas, Antigonee ne se laissa pas le choix, et avança au devant de la scène.

Cette fois tu y es...

Antigonee admira un à un les visages béats qui s'offrait à elle. Par ici un homme, et là une petite fille. Ce petit concours avait réunis bien du monde... L'envie de s'enfuir la retraversa, mais cette fois elle ne laissa pas à son corps le plaisir de flancher. Elle releva la tête un peu plus haut, enfonça son regard dans le noir de la salle et se lança.

Mesdames, Messieurs, plus jeune et moins jeune, bienvenue à vous. Vous avez déjà vu quelques un des artistes que couve ce village merveilleux qui est le notre.

Antigonee marqua une brève pause, et poursuivit.

Vous vous attendez peut-être à un autre numéro aussi époustouflant que les présents. Mais il n'en sera rien. Je ne suis ni artiste ni bonne vivante. Je ne sais que trop mal ce que l'ombre que je suis transporte en elle. Il n'y a que mon coeur et ses souvenirs qui soit vie en moi...

Comme automatisée, Antigonee attrapa de derrière elle la vieille et petite citole de sa douce maman et s'assit sur la sol froid de la scène. Elle avait bien penser à s'habiller de façon plus féminine, plus douce, plus belle mais la simple pensée de sa houppelande blanche la fit frémir de dégout. Alors elle avait gardé ses habits de tous les jours, trop sombre, trop triste... Mais cela lui était égal.

Puis, dans un élan de folie, Antigonee entreprit d'une voix angélique et cristalline les douces paroles qui lui revenait alors en tête.



Fa la nina
Fa la nana
Desolucho del la mama
Del la mama
Del papa

Questa sera tornela
Tornela perdro stradelo
Delvichino campitchelo

Fa la nana
Coré de mama
Désolucho del la mama
Del la mama
Del papa



Sans un mot, Antigonee se releva, aucun salut, aucune révérence envers les ponots incrédules.
Elle ramassa la citole de sa douce maman et entreprit de descendre de la scène.
Avant de franchir la porte de la taverne, elle déclara d'un ton neutre " C'était pour toi maman ".
On la vit repartir au loin vers son foyer d'un pas nonchalant, l'air résignée.


(NB HRP: Milles excuses pour l'orthographe de la petite berceuse, ayant égaré les paroles et n'étant pas italianisante, tout est écrit d'oreille. Merci de votre compréhension!)


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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:16

Election de miss et mister 1458.... Eithne
Eithne et ses jeux sensuels...

Eithne a écrit:
La jeune femme assise non loin aux côtés de sa chipie, regardait le spectacle non sans un certain plaisir, chacun y donnait de sa personne. Faut dire que l’idée de Bouzimir était plus qu’amusante. Elle jeta un coup d’œil vers Val avant de se lever à son tour.

Eh bien, ma chipie…je crois que je vais me lancer… Lui fit un clin d’œil mutin.

Main glissant dans sa courte chevelure, se dirigea vers la "scène" d’une démarche féline. Chaque pas laissait entendre un léger bruissement d’étoffe, faisait tournoyer la terre, et en regardant sa mise de plus près, on pouvait observer, que pour une fois, elle était vêtue d’une robe claire, rappelant les couleurs pastel de l’automne. Cintrée en sa taille, le corset court tressé sur le devant enfermé chemise de lin blanc aux épaules légèrement dénudés et poitrine saillante. Sa peau de lait, irisée par les rayons du soleil, luit.

Elle se mit face à ses acolytes, le sourire mutin sur le bord des lèvres avant de s’incliner exagérément. Se redressa, le port altier, le sourcil arqué, le menton haut, toujours ce même sourire affiché alors que ses mains se posèrent sur les pans de sa robe.


Pour ceux qui ne me connaissent pas et ils sont rares…je suis Eithne…plus connue sous le sobriquet de la peste… Et si vous vous demandez encore pourquoi…c’est que vous ne m’avez point croisé encore…

Elle esquissa un sourire narquois. A quoi bon les mots lorsqu’elle pouvait agir… Se cambrant pour offrir à la vue des spectateurs ses monts gonflés…fermes… Releva un pan de son jupon.
Lentement, très lentement, pour le plaisir des yeux, découvrit sa chausse, et au fur et à mesure, laissa apparaitre bas ou l’on pouvait aisément deviner la finesse de son mollet, le galbe de sa jambe, les rondeurs de sa cuisse… Au bout d’un long moment où le souffle se coupe pour ne regarder qu’une cuisse à demi nue, l’on peut voir entrelacé, tenant son morceau de tissu, un morceau fin de cuir semblable à un lacet. D’un geste…entre ses doigts le cordon se libère. Certains peuvent reconnaitre l’instrument tant de fois utilisé par la peste lors de ces soirées, où, joueuse, la chipie et elle torturaient.
Mordillant sa lèvre inférieur, Eithne se redressa non sans donner un coup de rein prononcé, les paupières à demies closes, la tête inclinée, exhibait avec amusement l’objet.


J’ai longtemps cherché un talent… Posa son index sur sa bouche, l’air songeuse, ses tempêtes observant faussement le vide. Malicieuse. J’aurai voulu avoir le talent de comédien de Richart…la souplesse câline d’Hatchep… la verve de Jean ou le Verbe de Tessay…

Elle se mit à déambuler sur la scène, chaloupant avec le lacet entre les doigts. Lui faisant décrire de petits cercles avant de le faire claquer.

Mais ce que je sais faire… Se pencha vers eux en confidence. C’est jouer…

Enfouit sa main libre dans sa courte chevelure de jais, la fait glisser jusque dans son cou, effleurant au passage son oreille, ses doigts graciles en épousaient la forme. Elle esquissait ses formes en frôlant son corps. Il lui fallait toute l’attention des spectateurs pour continuer sa diatribe, saisir ses mots avant qu’ils ne soient prononcés, juste en imaginant la souplesse de son être et l’utilité de son jouet. Elle s’arrêta au moment où sa main passait sur son ventre.
Ils ne pensaient tout de même pas qu’elle allait pousser plus loin son exploration… Son visage se barra d’un sourire narquois.


Hum ! Ce petit objet que vous regardez tous avec curiosité est mon arme de prédilection…alors que vous hommes et femmes aimez à jouer à la bête à double dos…j’y préfère moi des jeux bien plus intimes où ce petit cordon à l’air bien innocent devient une arme redoutable….imaginez donc un homme assis sur une chaise de bois, enlaçant la gironde pensant lui faire son affaire… Silence. Et de se retrouver là, piégé sous ses assauts. Les mains liées, le corps en émoi…le souffle court, il tente de la désarmer, de la faire plier…mais sous le joug d’un petit minois, les poignets liés par un simple morceau de cuir, il devient l’instrument bien malgré lui, d’une tigresse en appétit…

Elle fit rouler ses hanches en un mouvement circulaire, reproduisant une danse lascive.

Il est des coquins qui encore se laissent prendre,
Juste pour sentir dans leurs reins cette chaleur enivrante,
Que seule une gourmande peut en un simple lacet,
Provoquer plus haut que le jarret.


Elle fit un clin d’œil à Bouzimir avant de repartir vers sa chipie.


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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:24

Election de miss et mister 1458.... Gigab
Gigagil est son adresse légendaire ...

Gigagil a écrit:
De retour de son voyage en terres languedociennes, Gigagil se précipite en sa taverne favorite, mais n’y trouve personne.
Dépité, il fait un tour du village et entend enfin du bruit provenant d’une vielle grange.
Il tire doucement la porte et entre.
Presque tout le village est là !
Gigagil se cale dans un coin et regarde.
Petit à petit en voyant s’exprimer les unes et les autres, Giga comprend que chacun dévoile un talent ou un caractère secret ou peu connu des autres.
Il rit aux pitreries de Richart, est ému par le chant pur d’Antigone, puis troublé par la sensualité d’Eithne …

Giga se demande ce qu’il pourrait montrer.
Il va saluer ses amies et connaissances puis s’esquive rapidement.
Il a trouvé, mais il a besoin d’un comparse.

--Thorb_oyau a écrit:
Thorb-Oyau ouvre avec fracas la porte de la grange ;
Il tient un mulet par la bride, un corde épaisse est attachée à l’animal ;
Thorb lui fait traverser toute la longueur de la grange.


Salut la compagnie !
Vous dérangez pas pour moi
Un boug étrange m’a demandé de venir fixer c’t’haussière ici,
y a pourtant point de port dans vot ville !
Il a pt’été peur qu’on lui vole sa barque ?


Thorb éclate de rire, détache le cordage, puis, montant sur le dos du baudet, accroche la corde à une poutre.
Il tire ensuite la corde jusqu’à la porte, recommence la manœuvre en prenant soin que l’haussière pas trop tendue décrive un arc un peu au dessus du sol.
Thorb contemple son œuvre, satisfait.


Ben voilà !
Allons la mule, t’as gagné ton avoine et moi mes chopines !
A la r’voyure braves gens
Si v’z’avez des draps à sécher profitez en !

Gigagil a écrit:
Un Gigagil curieusement attifé entre.
Pieds nus, des braies noires trop courtes lui arrivent à mi-mollet et moulent ses cuisses, une chemise rouge sang sans manches ni boutons passe sous une large ceinture en cuir,
à chaque mouvement ses muscles roulent, se nouent, se délient,
Au lieu d’un chapeau, il porte un foulard noir noué en bandana.
A la ceinture pendent un sabre et une hache.
Gigagil avance à pas souples jusqu’au milieu de la salle.

D’un bond rapide, giga saute sur la corde,
Bras étendu il fait quelques pas, se retourne


Olla belles dames et joyeux Sires,
Gigagil vous salue sans rire
Etant depuis peu un nouveau ponot
J’espère devant vous ne point être penaud.


Giga prend son élan, court quelques pas sur la corde,
S’élance, saute puis plonge vers le sol et se reçoit les mains accrochées au cordage,
D’un solide coup de reins, il tourbillonne et se retrouve à nouveau debout en équilibre sur le fil.


La vie de voyageur enseigne vite beaucoup
A celui qui ne craint les coups,
Bien avant d’être le fameux pécheur
Et même loin de devenir agriculteur
J’ai parcouru de nombreux océans
A défaut d’y être toujours bienséant
J’y appris à devenir fort agile
C’est ainsi que je devins Gigagil.


Giga courre à nouveau sur la corde en direction de la porte,
Arrivé à mi hauteur, il s’assied, croise ses jambes sous le cordage, prend sa hache,
Se retournant, d’un geste vif, il la lance vers la poutre opposée,
La hache siffle, traverse la salle, se plante dans la poutre, tranchant net la corde.
Giga prend la corde dans ses mains, se laisse emporter par la corde libérée,
il tend les jambes devant lui, en frappe les portes qui s’ouvrent et saute au dehors.


Tchao
A la revoyo
Les ponots


Giga salue en éclatant de rire.


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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:29

Election de miss et mister 1458.... Tessay
Notre ami troubadour...Tessay

Tessay a écrit:
Tessay arrivant un peu en retard
Juste au début de la prestation Richart
S’assis au fond dans le noir,
En attendant ce qu’on allait y voir.

Richart comédien mais sans luth
Une histoire de haure lutte
D’une belle et d’une brute
qui ne finit pas sans chute.

Hatchep fit part de se origine
D’un grand pharaon, elle décline
Sur la musique du pays des djiins
Sensuellement une danse byzantine.

Jeanastier décrivit a son tour
Une triste histoire d’amour,
Rimant tel un troubadour,
Emouvant l’assemblée alentour,

Antigonee, Douce, mystérieuse,
Entonna une berceuse,
Qui laissait l’assemblée rêveuse,
Puis descendit silencieuse.

Puis ce fut le tour de notre peste,
Qui avec sa mine et sa voix céleste,
Nous décrivit en quelques gestes,
Ce qui rends la vie si digeste.

Evidemment dans le village Ponot
Il manquait l’arrivée d’un poivrot,
Avec sa mule et beaucoup de culot
Il installa une corde bien haut…

Gigagil Entra à l’improviste
Sur une corde en équilibriste,
Il fit son numéro d’artiste,
Et d’un coup de hache quitta la piste.

Dans la pénombre Tessay
Trouva que le niveau était relevé,
Son sourire et sa verve ne suffiraient,
Pourrait il alors se surpasser. ?



Tessay a écrit:
Le silence étant retombé Tessay apparu dans a lumière, il fit attention à bien laisser ses cheveux flotter dans le vent qu'il produisait par son déplacement, parce qu’il le vaut tant, sa cape pourpre ondulait d’une manière élégante sans entraver sa démarche altière. Son luth entre les mains, il passa entre les bancs, un sourire sur ses lèvres il posait au fur et à mesure qu’il remontait la grange vers la scène son regard pétillant sur les messires et les dames auxquels il adressait un salut de tête respectueux.

Arrivant au niveau de Bouzimir il ôta son chapeau piqué d’une plume de paon et inclina le buste en lui faisant un salut réservé aux dames de la noblesse.


Je crois que votre soirée est déjà un succès, le Puy ne peux que louer votre initiative, j’espère pouvoir encore enthousiasmer l’assemblée et faire naître un sourire sur le rose de vos lèvres.

Puis il gravit les quelques marches qui l’élevèrent vers les planches consacrées ce soir aux artistes du Puy.

Il annonça tout haut Chanson de geste

Quelques notes cristallines sortirent de son luth, puis mimant un chevalier en se déplaçant les genoux levé bien haut imitant le cheval il déclama :


Dans un pays lointain, un chevalier errant,
Parcourant les chemins, seul, fier et conquérant.
Apprend des paysans, que dans la région
Règne un malfaisant et terrifiant dragon

Notre preux chevalier, alors se met en quête
Sur le champ rechercher où se cache la bête.
Chemin faisant il sait si il a de la chance,
Qu’il pourra espérer de belles récompenses.



Il arrêta de faire le cheval pour garder son souffle pour sa voix.

Il se met à rêver, de fabuleux trésors,
De parchemins secrets, de tas de lingots d’or.
Peut être délivrer, une belle princesse,
Qui lui accorderait un titre de noblesse.

Il parvient à trouver après des jours de chasse,
Dans les vals, les forêts, du monstre enfin la trace.
Un vent nauséabond à l’orée d’une caverne.
Entre avec précaution sans même une lanterne.

Sans même se douter qu’un vil regard l’espionne,
Sans bruit dissimulé, dans le noir il tâtonne.
Soudain la menace qui planait dans la nuit,
Dévoile enfin sa face si vite qu’il fut surpris.


Le thème musical changea et fut plus brutal :


La traître tarasque d’un coup sur lui s’élance,
Transperce son casque et brise en deux sa lance.
Le preux se relève une plaie à son front,
Plus aucune trêve sans la mort du dragon.

Le combat fait rage et rendant coups pour coups
Au monstre sauvage, notre homme se tient debout.
Grillé de toutes parts, l’épée ensanglantée,
Il n’est pas beau à voir, mais la bête est blessée.

Dans un assaut final, il la frappe en plein cœur
Portant le coup fatal il est enfin vainqueur,
Lourdement à ses pieds la chimère s’effondre.
La caverne est plongée à nouveau dans l’ombre.


Il calma la mélodie, qui se fit mystérieuse

Avec une torche, il cherche de partout,
Pour remplir ses poches, les écus les bijoux.
Il voit soudain bouger, aux reflets de la flamme,
Une forme cachée, silhouette de femme.

Restant sur ses gardes, serait-ce une sorcière ?
Prudent il regarde, c’est une prisonnière.

J’ai été capturée, dit elle entre deux pleurs,
Vous m’avez délivrée, vous êtes mon sauveur.

Le thème changea à nouveau et se fit plus léger :


Il ramène au grand jour la jeune jouvencelle,
Qui lui devra toujours une dette éternelle.
Le sang coulant du front salit sa belle armure.
Déchirant son jupon, elle lave sa blessure.


Qui ai-je donc sauvée ? dit-il dans un sourire.
Elle répondit gênée,
Désolée beau Messire,
Je ne suis pas noble, je suis une bergère.
Je n’ai qu’une robe ma vie est de misère.


Il n’y a pas de trésor, ni de fille de roi,
Mais le monstre est bien mort et ne reviendra pas.
Sur son fier destrier, il la met sur la croupe.
Tous deux ainsi serrés, ils reprennent la route.


Prenant un thème de musique paysanne :


Arrivant dans le bourg ils soulèvent clameurs.
Et tout le monde accourt, acclamant le vainqueur.
De tous la plus émue est la mère de famille,
Qui croyait jamais plus, ne pouvoir voir sa fille.

Pour fêter leurs héros, le maire des villageois,
Un banquet aussitôt en hâte organisa.
On chante et on danse, à la mort du dragon,
À la délivrance de la jeune Suzon.

Au tout petit matin, le champion se prépare
A prendre les chemins car c’est l’heure du départ.
Il s’arrête un instant devant l’humble maison
Où gîtent les parents de la belle Suzon.


La musique devint très lègère pour laisser transparaitre l’émotion :


Elle a les yeux baissés, mais il voit qu’elle pleure
Notre homme ainsi touché par une larme en plein cœur
Frappé par cet éclair il tombe sous le charme,
Pose un genou à terre et dépose les armes.

Ce brave triomphant de périls sans faillir
Sans combattre se rend pour un simple sourire.
Prend doucement sa main et dépose un baiser
Il demande demain de pouvoir l’épouser.

Aux yeux admirables il propose sa vie.
L’amour véritable cela n’a pas de prix.
Il n’aura comme honneur que le titre de père
Et toujours dans le cœur tout l’amour d’une bergère.


Il arrêta la musique, et vint s’adresser directement au public :


Et la moralité, l’auriez vous comprise ?
Peut se résumer, sans aucune surprise :
«Le trésor le plus cher, se trouve dans nos coeurs
Car un amour sincère apporte le bonheur.
»


Il salua le public en s'inclinant bien bas, puis rejoins la salle afin de voir les autres artiste de la soirée.



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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:31

Election de miss et mister 1458.... Mills
le tombeur de ses dames, messire Millshackeur

Millshakeur a écrit:
Et Mills revint enfin.
Ou plutôt, on lui rappela qu'il était inscrit à ce concours. Lui n'avait rien demandé. Enfin, il parait que si en fait;.... bref...

Mais c'est alors que où est donc or ni car que notre homme se pointa. N'écouta pas la moitié de ce qu'il s'était dit avant et resta un moment interloqué.
Jusque là... il avait plus ou moins saisi le concept de la chose ; mais une question subsistait... il lui fallait du TALENT. Et une idée aussi, accessoirement...

Le bonhomme était certes talentueux dans un certain domaine, du moins, d'après certaines ; cela ne changeait rien au fait que Mills était bien embêté.
(Ben oui, y'a des choses qui se font pas tout de même très chers...)

Il s'apprêtait à retourner sur ses pas, lorsqu'une idée lui vint.
Un éclair malicieux passa sur son visage et il partit en courant...


Quelques temps plus tard, on le vit revenir avec... un lit.
Oui oui, un lit. Genre le lit qu'il y a dans votre chambre à coucher.
MAis non, il n'était pas vraiment tout seul pour l'amener. Il s'était fait aider par quelques marchands qui passaient par là et leur avait fait croire qu'il déménageait...

Toujours est il que sous le regard intrigué de l'assemblée, il fit poser le lit bien en vue dans la salle et se posta devant.


PLutôt qu'un long discours... voilà.
Je vous laisse méditer là dessus...


Il rit et s'allongea, observant de ses yeux les gens qui en ouvraient de plus grands...


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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:33

Election de miss et mister 1458.... Valendra
et enfin, notre secode peste, la chipie denommée Valendra qui semble apprécier aussi les jeux sensuels...

Valendra a écrit:
Tous se présentèrent, tous firent profiter de leur talent particulier, certains avec le verbe, d'autres avec leur corps et d'autres encore par leur sommeil.

Idée naissant dans l'esprit d'une Chipie. Eclipse.

Fine silhouette s'avançant, accompagnée par un vent taquin, frais, jouant avec ses cheveux dont le sépia rappelle l'automne qui bientôt sera vaincu par son successeur, l'hiver. Ses pas la guide jusqu'au centre de la scène tandis que sa main traîne une chaise. Ses jades se posent sur chaque personnes présentes se gardant le meilleur pour la fin, sa Peste. Sourire se dessinant sur ses lèvres pour muer mutin. Le jeu. Qu'elles seules savent manier, sa Peste en a donné un avant-goût laissant les paroles quitter ses lèvres charnues les accompagnant de ses gestes graciles.

Nouveau sourire, framboises qui s'entrouvrent.


Nous sommes tous venu sur cette scène afin de présenter notre talent qui nous est propre à chacun. Pour ma part, je préfère agir que de parler. Nos gestes reflètent nos pensées et l'harmonie qui s'en dégage n'est que le miroir de notre âme.

Jades habitées par une lueur se posant sur un visage doté un regard azuré.

S'approchant, se baissant jusqu'à pouvoir lui souffler une murmure dans le creux de son oreille.


Et qui mieux que toi inspire mes gestes? L'envie de jouer me prend... Viens me rejoindre...

Lueur plus vive, framboises effleurant ses jumelles, corps qui se relève et tient dans sa main un ruban, carmin. Sourire toujours présent. Jades observant l'azur s'installer sur la chaise. Sourire plus grand.

J'ai une âme d'enfant et ce que j'aime par dessus tout c'est jouer à un jeu. Ma Peste vous l'a chanté, moi je vais simplement m'amuser.

De profil, les spectateurs peuvent contempler un jeu, particulier.

Elle a tout oublié, ne se concentrant que sur l'essentiel. Ses jades détaillent lentement Mills, une main vient effleurer ses lèvres, sa gorge, son décolleté. De son autre main, elle soulève un pan d'étoffe carmin et s'avance, se frayant un chemin entre ses jambes. Son corps ondoie lentement, ses ongles, ses doigts parcours un chemin qu'eux seuls se sont tracés. Elle se baisse, doucement. Caresses s'étendant dans tout son corps. Elle ne fait juste qu'effleurer ses genoux. Des boutons s'ouvrent, deux. Son index libéré de l'entrave continu sa route.

Intruse se frayant un chemin dans sa chevelure, souffle effleurant ses lèvres, effluves chatouillant ses narines. Main se tendant comme un appel, un appel au cuir. Mots exprimant son appel.

Le corps droit, elle se tient derrière lui, mains liées par les liens de cuir de sa Peste, ruban carmin entre ses doigts.

Un murmure, entendu par une seule personne.


Tu connais des nombreuses facettes de notre jeu, mais pas toutes. Te priver d'un sens pour éveiller les quatre autres et les attirer dans ce jeu de sensations. Mais ne t'en fais pas, je te réserve de belles surprises. Tu me connais

Voile noir perceptible pour l'un, voile carmin visible pour les autres.

Son souffle se fait comme un caresse au creux de son cou remplacé par son index, elle tourne lentement autour de lui et il accompagne son mouvement jusqu'à se placer sur ses lèvres. Installée sur ses genoux, un pot de miel repose entre eux deux.

La respiration de l'un s'accélère tandis que l'autre est sereine. Tête penchée sur le côté, son index vient se placer sous le menton du brun jusqu'à le soulever, pour qu'elle incline simplement sa tête, que son souffle effleurent, que ses cheveux caressent que ses lèvres mordillent ses lèvres dont elle connaît si bien le goût. Corps se tendant, mains joueuses, baladeuses. Étoffe se soulevant, caresse rimant avec promesse. Échine s'arquant un peu plus permettant aux taquines de poursuivre leur exploration jusqu'à remonter le long de son dos, de sentir les muscles. Corps collé au sien. Kyrielle de sensations. Jades cessant leur observation pour un instant se laisser enfermées. Framboises coquines. Peau savoureuse. Clavicule chanceuse. Chipie taquine.

Liquide ambré recouvrant son index effleurant des monts, se frayant un chemin pour de monts clos devinrent mis-clos pour trouver une joueuse.

Le corps s'arque tandis que la joueuse remonte lentement l'abdomen, suivant un chemin tracé par le liquide ambré. Corps ondoyant, réaction vive, sourire mutin ne la quittant pas. Framboises goûtant à ses jumelles, longtemps, jusqu'à se retirer, comme le reste. Un souffle, un seul.

Les joueuses ont repris le relais effleurant, se retirant, revenant, repartant. Les framboises prennent parfois le relais et d'autres fois non. Joue contre joue, ses lèvres embrassent son cou, ses mains se glissent jusqu'aux liens de cuir. Unique échange entre jumelles. Voile se levant.

Jades fixant une femme.


Désolée de l'attente ma belle Bouzi, mais chacun évolue dans son temps non?


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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitimeVen 22 Jan - 2:38

enfin , apres ses demonstrations, des votes eurent lieux....

Bouzimir a écrit:
bouzi etait partie chercher des p'tites choses pour les vainqueurs du concours...

Elle n avait pas eu le temps de faire fabriquer des medailles à Giga pis cela aurait le comble pour l un des candidats de gagner son oeuvre...

elle decida donc d'offrir de petites choses transportables ...et utiles pour la vie du village...

en y reflechissant le lieu le plus interessant etait les tavernes...

Elle termina son petit travail, fiere et alla vite dans l arriere salle du relais ou dans le temps on cuisinait...

elle ramena des trucs à manger, principalement de la viande et des légumes et biensur des bouteilles....

apres avoir installé une jolie table , elle clotura le concours...


oyez oyez ponots et ponotes...
notre concours est enfin finit
souriez et battez de vos menottes
car les elus sont definits

dame Hatchep, messire Tessay
avancez donc et souriez
c est maintenant votre année
faut biensur en profiter...

point d argent mais un beau titre...
à faire valoir dans les tavernes de notre village !!


Election de miss et mister 1458.... Tessw
Election de miss et mister 1458.... Missg

allez c est la fete pour tous !!
z'etes à mes yeux tous des vaincqueurs car z'avez eu le merite de tenter des choses...de tres jolies et merveilleuses choses...

j ai apprécié ce p'tit concours !!!
et apres l effort voici le reconfort....
de la nourriture et à boire pour se rincer le gosier !!!
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MessageSujet: Re: Election de miss et mister 1458....   Election de miss et mister 1458.... Icon_minitime

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